Après sa première année d’intégration au barreau, Léa pensait qu’une certaine forme de routine s’installerait. Quelle erreur ! La vie des avocats est loin d’être un long fleuve tranquille surtout lorsque l’on fréquente assidûment un policier, que l’on a un procès d’assises à préparer en sus des audiences habituelles à plaider, et que les rapports avec les avocats associés du Cabinet prennent une tournure inattendue...
Léa va se retrouver prise dans un tourbillon d’évènements qu’elle va tenter de gérer. Mais peut-on vraiment tout maitriser sous prétexte que l’on est avocat et que l’on est censé avoir réponse à tout ?
De situations réalistes en rebondissements inattendus, la suite des aventures de Léa entraîne le lecteur à la poursuite de la découverte du milieu judiciaire avec la même fraîcheur et légèreté que dans le premier opus [1].
Le regard bienveillant mais lucide d’une avocate sur sa profession...
Aurore Boyard est avocate au Barreau de Toulon. Habituée des prétoires devant lesquels elle défend des dossiers d’affaires familiales, d’immobilier, ou de droit pénal, elle enseigne à la Faculté de Droit de Toulon et du Var dans les domaines de « promotion immobilière » et de « baux civils ».
Elle continue de nous faire découvrir l’envers de son métier, au civil, au pénal, avec toutes ses composantes : le secret professionnel, le problème des écoutes téléphoniques, la discipline des avocats, les rapports avec la presse, etc.
Préfacé par Philip Fitzgerald, ancien rugbyman professionnel, Docteur en Droit et Avocat au Barreau de Toulon et Patrick A. Curmi, Docteur es-sciences.
Dalloz soutient « De l’avocation à l’avocature » paru en mars 2016.
« De l’avocation à l’avocature », Aurore Boyard, Editions Fortuna, 180 pages, prix : 16 euros, ISBN : 978-2-87591-107-0.
http://club.editionsfortuna.net/index.php/catalogue/romans/de-l-avocation-a-l-avocature-detail]