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"Dans le domaine judiciaire, tant au niveau des magistrats que des professionnels du droit, c’est le manque de connaissance de la médiation qui change l’approche et qui dégrade son usage. Oui, il faut reconnaître que le mot « médiation » a été employé à mauvais escient, que trop souvent le mot « médiateur » qui intervenait n’en était pas vraiment un, le mot négociateur, conciliateur ou arbitre aurait dans de nombreuses situations été plus clair dans les esprits et aurait affiché une meilleure compréhension (...) " (sic)
" Certains y verront la peur de perdre la maîtrise d’un dossier d’autres verront plutôt un retournement dans leur approche juridique du conflit, in fine ils trouveront de nombreux avantages à promouvoir ce mode alternatif de résolution des conflits (déblocage de situation difficile, retour du dialogue, aboutir à un accord, pacification des relations,…). " (sic)
Cette analyse prolixe et partiale, est-elle de source autorisée ou n’est-elle qu’un point de vue d’un "vrai médiateur" ?
Quel est l’intérêt d’ergoter ainsi à propos des conciliateurs de justice qui font bénévolement le même travail de bien plus longue date ?
Les particuliers et le Ministère de la Justice vont donc aller payer un service qui leur est déjà proposé gratuitement par des personnes au moins aussi compétentes ?
Que nous chault cette "réclame" à nous, délégués du Défenseur des droits dont le rôle n’est aucunement de rédiger un accord ?
Que Monsieur LEPLAT aille donc tenir sa tribune devant la Fédération Nationale des conciliateurs de France.