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Une rupture conventionnelle peut elle être remise en cause dans le cas où celle ci a été "imposée" (sans témoins bien sûr ) par un employeur en conflit avéré ( reproches exagérés et écrits de l’employeur) avec une salariée ? Cette "rupture conventionnelle a été signée alors que la salariée était en arrêt de travail pour dépression nerveuse conséquente a la souffrance au travail , avec médication lourde ,( prozac.. etc.) et donc dans l’incapacité à résister véritablement à la pression de l’employeur pour signer . Depuis le décret de la cour de cassation de mai 2013, il semblerait que la situation a évolué que les conditions de remise en cause des "ruptures conventionnelles "sont plus drastiques