2021: nos intuitions pour les mois à venir.
[Dernières tendances de l'emploi dans le Droit] -30% sur le début 2021.
DECOUVREZ:
À jour de la réforme du divorce entrée en vigueur le 01/01/2021
[Exposition virtuelle] “Visages de la Liberté, ils prennent le risque de défendre".
[Nouvelle parution] "La balance, le glaive et les fourmis."
La minute antique du médiateur.
La chaîne "Vidéos et droit" du Village de la justice:
Ayant été Avocat au Barreau de PARIS pendant plus de 42 ans, et étant maintenant retraité et honoraire, j’exerce les fonctions de conciliateur depuis un an. En exercice je n’étais pas favorable aux tentatives obligées par les Tribunaux ou les textes, de recourir à la conciliation, qui m’apparaissait inutile et de perte de temps, dès lors que les parties avaient opté pour le combat judiciaire, principalement dans les domaines dans lesquels j’exerçais, les avocats cherchant souvent préalablement une solution amiable. Mais dès lors que les parties manifestent le souhait d’essayer de trouver un accord amiable, avec l’aide d’un tiers, il n’existe plus de "petit" litige, dès lors que l’on constate et ressent l’importance que les litiges revêtent pour les personnes.
Trop souvent cependant les personnes recherchent une consultation gratuite, qu’il faut refuser, mais ces demandes montrent les efforts que devraient faire les barreaux des villes moyennes, via les mairies de villages.
Par contre je ne suis en rien d’accord avec votre analyse sur le bénévolat : dans un premier temps les personnes sont surprises du caractère bénévole de la prestation puis manifestent leur appréciation, et je n’ai pas rencontré de personnes qui aient eu l’impression d’intervention au rabais, tout dépendant, je pense de l’attitude et de l’implication du conciliateur.