Bienvenue sur le Village de la Justice.
Le 1er site de la communauté du droit, certifié 3e site Pro en France: Avocats, juristes, fiscalistes, notaires, commissaires de Justice, magistrats, RH, paralegals, étudiants... y trouvent services, informations, contacts et peuvent échanger et recruter. *
Aujourd'hui: 154 760 membres, 25913 articles, 126 982 messages sur les forums, 3 900 annonces d'emploi et stage... et 1 600 000 visites du site par mois en moyenne. *
FOCUS SUR...
LES HABITANTS
Membres
Nouvelles parutions
Guide de la négociation contractuelle
Un guide essentiel pour formaliser un accord juridiquement efficace
Printemps digital chez LexisNexis !
Fonds de commerce 2023 - Ce qu’il faut savoir
Des réponses concrètes aux différentes problématiques juridiques posées par les fonds de commerce
Sélection Liberalis du week-end : Reflets du Japon au Musée Cernuschi.
Une nouvelle sélection d’artistes par Liberalis et la galerie en ligne Target Art.
La chaîne "Vidéos et droit" du Village de la justice:
[Podcast] CEDH, les avancées de la justice climatique.
L’article est astucieux mais pas du tout neutre.
En l’état actuel des choses, le législateur n’a pas entériné de droit à l’enfant. Il a simplement offert l’égalité aux couples homosexuels et hétérosexuels en terme de mariage. Et cela a effectivement des répercussions sur les possibilités d’adoption.
Certains parents dans l’impossibilité biologique de procréer contournent les lois pour répondre à leurs désirs personnels. Et pour ne pas pénaliser les enfants ainsi nés, on bricole des solutions parfois aberrantes, c’est vrai. Tant que cela reste dans la lignée du droit de l’enfant, c’est acceptable.
Mais du jour où la loi ouvre grand la porte à la science pour se mettre au service des désirs des adultes, où pourra t’on fixer la limite de l’acceptable ? Est ce que moi aussi, hétérosexuelle et fertile, je pourrais aussi faire porter mes enfants par une autre tandis que je poursuis ma carrière et mes loisirs ?