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Cher Maître,
Merci pour cet article très intéressant. Cependant je suis étonnée de vos derniers propos "Pour éviter que cette scolarisation provisoire conforte la situation du parent qui aura choisi illégalement de déscolariser son enfant de l’école dans laquelle il devait être inscrit, il convient que les autorités académiques prennent l’attache du juge aux affaires familiales afin de l’informer de la situation. "
Il n’y a pas de déscolarisation illégale puisque ce n’est pas l’école qui est obigatoire mais l’éducation. Ainsi un parent peut mettre en place une IEF (Institution en Famille) en lieu et place d’une scolarisation traditionnelle.
Donc il n’y a pas d’illégalité à proprement parler. Ce qui est évident cependant c’est la difficulté des parents à parfois se mettre d’accord si l’un souhaite un changement d’école dans l’intérêt de l’enfant et que l’autre s’y oppose par intérêt personnel.
C’est mon cas et je n’ai pas de solution puisque de fait ayant la garde (classique), le père ayant débuté une demande de garde alternée, le jugement n’ayant lieu qu’en octobre, je vais donc être obligée de forcer mon fils à retourner dans une école où il est en souffrance pour ne pas être accusée de bafouer l’autorité parentale.
Il y a de sérieuses carences dans la Justice et les textes. On prétend donner une valeur à la parole de l’enfant, on fait état de son bien être supérieur mais dès lors qu’un parent engagé en ce sens veut mettre en oeuvre ce qui est nécessaire pour protéger son enfant il devient coupable de bafouer cette autorité parentale.
Merci à nouveau pour cet article.