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Un "label" ç’est créer un problème nouveau : critères ? attribué à qui ? par qui ? retiré par qui ... ? En quoi la présence d’Avocats serait une garantie par rapport aux "travers" dénonçés ? ( Pour les honoraires, la pression pour des prestations toujours moins chères existe déjà envers des avocats collaborateurs par d’autres avocats.., ,Pour la qualité des prestations des avocats qui ne font que du copier/ coller cela existe aussi.. ... ).
Il suffit peut-être d’en revenir aux règles de base : des plateformes de mise en relation sans "mélange des genres".
Mais surtout selon l’article, ces sociétés utilisent des biais déguisés pour facturer aux avocats leur apport d’affaires.
Si l’on autorisait la rémunération de l’apport d’affaires cela serait plus sain et plus sécurisant pour ces avocats qui actuellement le font de toutes façons, par les procédés indirects dénonçés , ce qui les rend vulnérables à mon sens vis à vis de ces plateformes (qui savent qu’ils ne respectent pas les régles de leur Ordre )
Cela est toujours une situation néfaste. Autorisons la RÉMUNÉRATION par les avocats des APPORTEURS D’AFFAIRES , tout sera plus clair , et pas juste concernant les Legal tech. L’avocat ne s’occupera pas moins bien d’un dossier pour autant. Ç’est une interdiction d’un autre temps, celui où l’on aurait jamais pu dire que le Cabinet d’avocats était une entreprise qui n’existe pas sans clients,
Et arrêtons" d’encenser" par principe, sans méfiance aucune sur la qualité des prestations, tout ce qui se dénomme legal tech ...
Ce sont avant tout des entreprises commerciales avec les mêmes "travers" possibles que dans tout secteur d’activité :