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[Podcast] Pourquoi la Justice est-elle représentée sous les traits d’une femme ?
Bonjour,
je travaille dans un EPCI qui selon moi pratique (inconsciemment je pense) un harcèlement institutionnel ayant pour conséquence une dégradation des conditions de travail et de l’état général des salariés. Le procédé consiste notamment par la mise en place de règles empêchant le lien social (interdiction de prendre la pause café ensemble pour les membres d’un même service, reproche aux salariés qui se déplacent pour communiquer avec d’autres services (demande de privilégier les mails), interdiction de porter des shorts, interdiction de porter des jupes trop courtes (mais sans donner de taille limite "à l’appréciation des responsables de service", ...). Les arrêts de travail s’étant intensifiés, le personnel a été informé qu’un entretient serait programmé avec le salarié qui a été arrêté avec le service RH afin qu’il dise pourquoi il a été arrêté. Par ailleurs, mon entreprise dépend de la convention collective des déchets car c’est le métier premier de la société mais qui a évolué depuis vers d’autres compétences qui ne sont pas prises en compte par cette convention. De ce fait, les salariés sont rémunérés sur une classification minimale qui ne correspond pas aux tâches réelles effectuées (ex : un(e) ingénieur(e) fera un travail d’ingénieur mais payé au niveau d’un technicien, un(e) assistant(e) technique niveau BTS sera rémunéré(e) selon le même barème qu’un(e) agent de tri (niveau BEP)). Les revalorisations salariales sont quasi absentes car il n’y a pas de fiches de postes et de ce fait ne sont pas justifiables. Les heures supplémentaires sont non reconnues et non rémunérées car le temps de travail est encore en discussion entre les DP et la direction (depuis 2006) (actuellement nous travaillons sur des journées de 8h avec un système de cycle : une semaine à 39h et une semaine à 32h avec les jours non travaillés tombant sur un jour férié non récupérables). Ces exemples sont non exhaustifs. Je constate une démotivation, une dépression de plus en plus présente chez mes collègues (y compris moi-même) d’une part et une détérioration des relations inter-salariés (pouvant se rapprocher de harcèlement moral individuel dans certains cas). L’établissement étant très lié à la vie politique du département, il est très difficile d’agir avec les institutions départementales. Quels peuvent être les recours ? Peut-on engagé une procédure contre une société pour harcèlement institutionnel ?
Merci.