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Bonjour,
J’ai lu votre article et me suis arrêté au §3 L’importante distinction à connaître entre la mise à pied conservatoire et la mise à pied disciplinaire.
Un salarié a reçu en main propre un courrier le 12/03 lui signifiant une mise à pied à titre conservatoire avec une date de convocation à un entretien fixée au 20/03 soit 8 jours plus tard. Suite au confinement décrété au 17/03, le salarié ne s’est pas rendu au rendez-vous et a attendu un retour de son employeur. la semaine qui a suivi, ce dernier l’a appelé et lui a suggéré un entretien téléphonique. Le salarié a refusé car il souhaitait la présence d’une personne pour rédiger un compte rendu. Cela a eu pour effet une notification des faits reprochés par courrier avec AR et invitant le salarié à s’exprimer par le même canal. Il a donc, à regret rédigé un courrier pour sa défense. Depuis ce jour, le salarié n’a plus eu de nouvelle. Cela signifie que le salarié s’est retrouvé avec une durée de mise à pied donc sans rémunération pendant plus d’un mois. après avoir tenté de contacter l’employeur, ce dernier par téléphone lui a signifié que compte tenu des faits reprochés, il maintenait le licenciement sans donner plus de précisions sur la ou les fautes ayant entraîné ce licenciement. A l’écoute de ce salarié, il apparait qu’il y a volonté de séparer du salarié. De plus, il est facile à l’employeur de détruire certaine preuve à l’exemple d’une demande écrite d’absence faite par le salarié sans qu’il en ait un double contre signé par sa hiérarchie remis au salarié et par conséquent de citer un abandon de poste ? N’y a t-il pas un non-respect de la procédure ? Que peut faire un salarié face à des propos soit-disant rapportés par des collègues ? Quelles preuves a l’employeur de la véracité de ces propos ? Que peut faire ce salarié face une telle injustice ? Je suis préretraité et à l’écoute de cette histoire, je ne peux me retenir de venir en aide à ce salarié qui ne connait rien à ce monde. Il m’ a dit : "je comprend rien et je sais pas ce qui m’arrive. J’ai rien fait de mal..."