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Bonsoir,
L’article est intéressant mais interroge compte tenu du flou auquel doivent faire face parents, élèves et enseignants. Dans ces conditions je comprends mal comment on pourrait estimer injustifié qu’un enseignant, tout fonctionnaire soit-il, souhaite se protéger, au même titre qu’un parent souhaiterait protéger son enfant d’ailleurs. Être au service de l’Etat est une obligation mais en pleine crise sanitaire cela pose forcément question.
En quoi les mesures annoncées garantissent-elles la sécurité des enseignants comme celle des enfants ?
Jusqu’ici ces mesures ont ralenti l’épidémie mais elles ne l’ont en aucun cas arrêtée, comment peut-on en déduire que le retour dans les classes est sans risque et que le droit de retrait serait injustifié ?
Comment la notion de personne « à risque » peut-elle avoir un bien fondé juridique lorsque des personnes sans aucune comorbidité décèdent de ce virus, notamment une jeune fille de 16 ans ? C’est précisément une des raisons du confinement.
Par ailleurs, comment évaluer le bien fondé de ces mesures et de leur respect, puisqu’on annonce une chose et son contraire tous les deux à trois jours ?
Les masques étaient inutiles, ils sont devenus indispensables, les enfants étaient les principaux vecteurs de la maladie, ils sont devenus très peu contagieux, la promiscuité est dangereuse dans un restaurant pour cinquante personnes, elle est devenue inoffensive dans une école remplie à moitié, c´est à dire comptant parfois deux cents élèves....
Sur quoi un juge pourra-t-il donc se baser pour estimer que le droit de retrait est justifié ou non ?
Le dernier avis de l’académie de médecine préconise par exemple que les élèves portent tous un masque, mais aussi qu’ils mangent dans une salle de classe. Sont-ils donc censés manger avec leur masque pour être en sécurité ?
Cordialemnt,
Ced