promesse de vente

Bonjour,
Mon client est bénéficiaire d'une promesse de vente de la nue propriété d'un immeuble de la part de X.
La mère de X est usufruitière et X ne s'est pas réservé l'usufruit au décès de sa mère.
Il est convenu que la promesse doit trouver son issue (la vente) au décès de l'usufruitière et après levée d'option de mon client dans un certain délai.
X est décédé.
Sa veuve conteste judiciairement la promesse alléguant de la nullité de celle-ci pour plusieurs raisons.
La mère de X décède postérieurement à la demande de nullité et mon client lève l'option dans le délai requis.
La veuve de X ne réitère pas la vente (un pv de carence est établi et publié par le notaire), maintient ses prétentions judiciaires, perd en première instance et fait appel.
Aujourd'hui, en appel, elle excipe de la rétractation de la promesse de vente, brandissant une jurisprudence non remise en question depuis 1993 en vertu de laquelle le promettant peut se rétracter tant que l'option n'est pas levée.
La jurisprudence est incontestable...
Mais je prétend moi que, avant la levée de l'option, c'est la nullité qu'elle a sollicité et non la rétractation qui sont deux choses différentes.
Qu'en pensez-vous s'il vous plaît ?
C'est complexe. J'en suis bien consciente.
Merci de votre éclairage
Azou
Mon client est bénéficiaire d'une promesse de vente de la nue propriété d'un immeuble de la part de X.
La mère de X est usufruitière et X ne s'est pas réservé l'usufruit au décès de sa mère.
Il est convenu que la promesse doit trouver son issue (la vente) au décès de l'usufruitière et après levée d'option de mon client dans un certain délai.
X est décédé.
Sa veuve conteste judiciairement la promesse alléguant de la nullité de celle-ci pour plusieurs raisons.
La mère de X décède postérieurement à la demande de nullité et mon client lève l'option dans le délai requis.
La veuve de X ne réitère pas la vente (un pv de carence est établi et publié par le notaire), maintient ses prétentions judiciaires, perd en première instance et fait appel.
Aujourd'hui, en appel, elle excipe de la rétractation de la promesse de vente, brandissant une jurisprudence non remise en question depuis 1993 en vertu de laquelle le promettant peut se rétracter tant que l'option n'est pas levée.
La jurisprudence est incontestable...
Mais je prétend moi que, avant la levée de l'option, c'est la nullité qu'elle a sollicité et non la rétractation qui sont deux choses différentes.
Qu'en pensez-vous s'il vous plaît ?
C'est complexe. J'en suis bien consciente.
Merci de votre éclairage
Azou