responsabilité /devoir de conseil notaires

Bonjour à tous,
Quelques questions sur la responsabilité et l'étendue du devoir de conseil des notaires.
J'imagine, et notamment compte tenu de ceci http://www.notaires.fr/notaires/jsp/site/Portal.jsp?page_id=234&orig_page_id=121 que les notaires ont une responsabilité toute particulière dans la rédaction d'un acte de vente d'immeubles face à des non professionnels de l'immobilier.
On m'a soumis le cas de la vente d'une maison entre particuliers:
1er temps: X achète à Y une maison, l'acte rédigé par l'étude comportant une clause au terme de laquelle il y a une cheminée non conforme et que X s'engage à ne jamais rechercher la responsabilité de Y sur ce point.
2° temps Quelques années + tard, X revend à Z. L'étude qui a rédigé le contrat de vente de X à Y (mais pas le même notaire) rédige le contrat de vente (du même bien donc) entre X et Z. Tout ce petit monde étant non professionnel, que ce soit dans le domaine juridique ou immobilier (hors l'étude, évidemment). Mais le contrat de vente ne fait aucun mention de la "clause cheminée" ou d'une quelconque limitation de responsabilité ou renonciation à recours de Z vers X.
3° temps: Bien évidemment, vous l'aurez deviné, Z revient vers X sur le fondement du vice caché (la cheminée constituant tout à coup l'élément déterminant de son consentement à l'achat).
Pensez vous que le notaire aurait dû réintroduire la fameuse "clause cheminée" dans l'acte de vente entre X et Z, et que ne le faisant pas il engage sa responsabilité professionnelle, au titre d'un manquement à son devoir de conseil ? C'est ce qui me vient à l'esprit en premier lieu.
Dans l'affirmative, le notaire doit il indemniser le préjudice subi par X (condamnation ou paiement d'une somme d'argent au titre d'une transaction entre X et Z) ?
Quelles seraient les chances effective d'une telle démarche (faudrait il passer par l'le conseil de l'ordre, appeler le notaire en garantie etc....)? Le corporatisme supposé des notaire est il réel et de nature à compliquer ces actions, ou est ce une légende urbaine ? (bon ok, ca risque de lancer un troll... désolé amis notaires, la prochaine fois je trolle les juristes et les avocats
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Quelques questions sur la responsabilité et l'étendue du devoir de conseil des notaires.
J'imagine, et notamment compte tenu de ceci http://www.notaires.fr/notaires/jsp/site/Portal.jsp?page_id=234&orig_page_id=121 que les notaires ont une responsabilité toute particulière dans la rédaction d'un acte de vente d'immeubles face à des non professionnels de l'immobilier.
On m'a soumis le cas de la vente d'une maison entre particuliers:
1er temps: X achète à Y une maison, l'acte rédigé par l'étude comportant une clause au terme de laquelle il y a une cheminée non conforme et que X s'engage à ne jamais rechercher la responsabilité de Y sur ce point.
2° temps Quelques années + tard, X revend à Z. L'étude qui a rédigé le contrat de vente de X à Y (mais pas le même notaire) rédige le contrat de vente (du même bien donc) entre X et Z. Tout ce petit monde étant non professionnel, que ce soit dans le domaine juridique ou immobilier (hors l'étude, évidemment). Mais le contrat de vente ne fait aucun mention de la "clause cheminée" ou d'une quelconque limitation de responsabilité ou renonciation à recours de Z vers X.
3° temps: Bien évidemment, vous l'aurez deviné, Z revient vers X sur le fondement du vice caché (la cheminée constituant tout à coup l'élément déterminant de son consentement à l'achat).
Pensez vous que le notaire aurait dû réintroduire la fameuse "clause cheminée" dans l'acte de vente entre X et Z, et que ne le faisant pas il engage sa responsabilité professionnelle, au titre d'un manquement à son devoir de conseil ? C'est ce qui me vient à l'esprit en premier lieu.
Dans l'affirmative, le notaire doit il indemniser le préjudice subi par X (condamnation ou paiement d'une somme d'argent au titre d'une transaction entre X et Z) ?
Quelles seraient les chances effective d'une telle démarche (faudrait il passer par l'le conseil de l'ordre, appeler le notaire en garantie etc....)? Le corporatisme supposé des notaire est il réel et de nature à compliquer ces actions, ou est ce une légende urbaine ? (bon ok, ca risque de lancer un troll... désolé amis notaires, la prochaine fois je trolle les juristes et les avocats
