Harcèlement moral (HM) entraînant une démission

Le cas est le suivant :
une salariée se prétend victime de harcèlement moral - HM - (mise à l'écart dans son travail - infantilisée).
L'employeur étant sourd à ses cris d'alarme, elle tentera par 2 fois de se suicider et finira, tout en étant parallèlement soignée pour une dépression, par démissionner en vue de prendre un nouveau job, où finalement elle se sentira parfaitement à l'aise et reprendra une totale confiance en elle.
Selon son médecin, les 2 tentatives de suicide et la dépression sont liées au harcèlement moral dont elle a été l'objet.
La salariée intente alors une action devant le CPH (après avoir renoncé à déposer plainte pour HM au pénal) contre l'ancien employeur "tortionnaire" en vue de faire reconnaître le HM et obtenir des D&I, près d'1 an après sa démission.
Face à la réponse de son employeur, elle commence à réfléchir et consulter ...
Sans entrer dans les faits, nombreux et complexes, pensez-vous que l'action soit vouée à l'échec car introduite plusieurs mois après avoir démissionné (au lieu de prendre acte de la rupture par exemple) ?
En outre, le fait qu'une personne en HM puisse finalement tenir pour trouver un nouvel employeur avant de démissionner me laisse perplexe quant à l'analyse qu'en fera le CpH.
Merci par avance de votre contribution
une salariée se prétend victime de harcèlement moral - HM - (mise à l'écart dans son travail - infantilisée).
L'employeur étant sourd à ses cris d'alarme, elle tentera par 2 fois de se suicider et finira, tout en étant parallèlement soignée pour une dépression, par démissionner en vue de prendre un nouveau job, où finalement elle se sentira parfaitement à l'aise et reprendra une totale confiance en elle.
Selon son médecin, les 2 tentatives de suicide et la dépression sont liées au harcèlement moral dont elle a été l'objet.
La salariée intente alors une action devant le CPH (après avoir renoncé à déposer plainte pour HM au pénal) contre l'ancien employeur "tortionnaire" en vue de faire reconnaître le HM et obtenir des D&I, près d'1 an après sa démission.
Face à la réponse de son employeur, elle commence à réfléchir et consulter ...
Sans entrer dans les faits, nombreux et complexes, pensez-vous que l'action soit vouée à l'échec car introduite plusieurs mois après avoir démissionné (au lieu de prendre acte de la rupture par exemple) ?
En outre, le fait qu'une personne en HM puisse finalement tenir pour trouver un nouvel employeur avant de démissionner me laisse perplexe quant à l'analyse qu'en fera le CpH.
Merci par avance de votre contribution