Nature juridique des CDAC

Bonjour,
Je m'interroge sur la nature juridique des autorisations d'exploitation commerciale accordées à ce jour par les CDAC dans le cadre de l'achat d'un fonds de commerce soumis à ce type d'autorisation et par voie de conséquence sous quelle forme ce type de CDAC est transférée/cédée ou poursuivie.
En effet, ces autorisations peuvent être déposées par le propriétaire du foncier ou par l'exploitant. Conformément à l'article L.752-15 du Code de commerce, l'autorisation préalable requise pour la création de magasins de commerce de détail n'est ni cessible ni transmissible.
Cela implique donc que ni le propriétaire ni l'exploitant ne peut céder cette autorisation...
Suivant un arrêt du Conseil d’État du 5 novembre 2003, il a été jugé que le régime d'autorisation d'ouverture des grandes surfaces ne constituait ni une prescription d'urbanisme ni une servitude administrative.
Ayant déjà interrogé quelques personnes sur le sujet, on m'indique que ces autorisations sont attachées au terrain, pour l'activité mentionnée. Cette dernière réponse n'a pas emporté ma conviction, vu l'arrêt précité.
Cette question s'inscrit dans le cadre d'un projet d'achat d'un fonds de commerce pour une activité qui resterait identique. Le fonds et les murs appartiennent au même groupe.
Par avance merci
Je m'interroge sur la nature juridique des autorisations d'exploitation commerciale accordées à ce jour par les CDAC dans le cadre de l'achat d'un fonds de commerce soumis à ce type d'autorisation et par voie de conséquence sous quelle forme ce type de CDAC est transférée/cédée ou poursuivie.
En effet, ces autorisations peuvent être déposées par le propriétaire du foncier ou par l'exploitant. Conformément à l'article L.752-15 du Code de commerce, l'autorisation préalable requise pour la création de magasins de commerce de détail n'est ni cessible ni transmissible.
Cela implique donc que ni le propriétaire ni l'exploitant ne peut céder cette autorisation...
Suivant un arrêt du Conseil d’État du 5 novembre 2003, il a été jugé que le régime d'autorisation d'ouverture des grandes surfaces ne constituait ni une prescription d'urbanisme ni une servitude administrative.
Ayant déjà interrogé quelques personnes sur le sujet, on m'indique que ces autorisations sont attachées au terrain, pour l'activité mentionnée. Cette dernière réponse n'a pas emporté ma conviction, vu l'arrêt précité.
Cette question s'inscrit dans le cadre d'un projet d'achat d'un fonds de commerce pour une activité qui resterait identique. Le fonds et les murs appartiennent au même groupe.
Par avance merci