Posté: Mer 19 Juil 2006 14:33
Les insultes datent de la semaine dernière!
De plus, nous ne sommes pas en présence d'un blog
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Laurent binet a écrit :1. Pour la preuve, constat d'huissier, impression des messages et voila c'est réglé.
2. En tout état de cause, aucune action pénale n'est possible dans votre cas car il est fort probable que la prescription (3 mois) soit déjà acquise.
Allez donc lire ce qu'avait écrit Eolas à ce sujet:
http://maitre.eolas.free.fr/journal/ind ... u-blogueur
ca m'evitera un copier coller
Maîte Eolas a écrit :
Tout d'abord, il faut que la personne soit identifiée ou au moins identifiable. Inutile qu'il soit identifiable par des milliers de personnes. Un groupe restreint suffit, du moment qu'il peut subir un préjudice du fait d'être reconnu par ce groupe comme le milieu professionnel dans lequel il évolue (par exemple : un chercheur dénoncé auprès de la direction du CNRS comme étant un terroriste international, mais là j'exagère avec mes exemples : personne n'oserait faire une chose pareille).
Si le blogueur dit "Louis le Grand est un escroc", il n'y a pas de problème, il est clairement identifié. S'il dit "le VRP parapentiste de SeptInclus est un escroc", il n'est pas nommé, mais reste aisément identifiable. Le blogueur ne peut pas prétendre devant le tribunal qu'en fait, il parlait de quelqu'un d'autre.
Un problème peut apparaître face à des expressions plus ambiguës, du genre "le chantre du commerce dans la blogosphère", ou l'emploi des seules initiales ("Ce crétin de LLG...") . Dans ce cas, c'est au plaignant d'apporter la preuve que c'est bien lui qui était visé, les tribunaux allant parfois jusqu'à exiger, pour les cas vraiment ambigus, la preuve que le plaignant a été identifié comme la personne visée par des lecteurs.