Harcèlement de la part d'un huissier

Bonjour,
Une amie avait posté cette demande sur une autre site pour moi mais elle n'a pas eu beaucoup de réponse, j'espère que vous pourrez m'aider.
Pour avoir critiqué la bonne foi d'un huissier dans un constat établi par cet officier ministériel dans un litige qui m'oppose à une compagnie x, je suis depuis constamment harcelé par cet huissier.
Je reçois en effet des relances d'impayés pour la signification d'un acte qui aurait été délivré en 1999. Ces relances d'impayés sont établis au nom de mon père (décédé en 2000).
En raison de la maladie affectant mon père, je me suis toujours occupé depuis plusieurs années des papiers de mon père et je n'ai jamais eu connaissance de la signification d'un acte et si tel avait été le cas, cet acte aurait été réglé.
Il semble évident que ces relances, ayant débutés depuis la critique du constat rendu dans une autre affaire, que cet huissier cherche à "se venger".
Mon amie n'a pas trop su quoi me conseiller dans ce domaine, avez vous des idées ?,
Hormis le fait que l'huissier se doit de prouver qu'un acte ait bien été délivré (mais nous imaginons le pire, vu le constat qui a été rendu, il semblerait que cet huissier ne recule devant rien) quels pourraient être mes recours en la matière ?
La prescription sur ce genre d'acte est bien de 30 ans ? La dette ne s'éteint pas avec le décès ou la clôture de la succession ? On recherche vraiment toutes les possibilités envisageables qui pourraient m'éviter le pire.
En fait les relances sont toutes adressées au nom de mon père. Elles sont toutes renvoyées à l'expéditeur avec la mention que la personne est décédée.
Mais l'huissier ne désempare pas et continue.
Donc pour être plus précis, mes questions sont :
Jusqu'où un huissier peut il aller au motif qu'il prétendrait recouvrer des frais d'un acte qu'il aurait signifié à une personne maintenant décédée ?
(la succession est bien évidemment close depuis 2000)
Quelles preuves doit il apporter qu'un acte ait bien été signifié ?
Ai-je tort en pensant que sûrement la signification doit avoir été revêtue de la personne à qui l'acte aurait été signifié et le type d'acte doit être indiqué ?
Dans tous les cas l'huissier doit être en mesure de fournir une copie à la fois de la signification et de l'acte signifié, non ?
Voilà, j'espère que les interrogations qui se posent dans cette affaire sont définies assez clairement. Merci à tous par avance pour vos réponse.
Une amie avait posté cette demande sur une autre site pour moi mais elle n'a pas eu beaucoup de réponse, j'espère que vous pourrez m'aider.
Pour avoir critiqué la bonne foi d'un huissier dans un constat établi par cet officier ministériel dans un litige qui m'oppose à une compagnie x, je suis depuis constamment harcelé par cet huissier.
Je reçois en effet des relances d'impayés pour la signification d'un acte qui aurait été délivré en 1999. Ces relances d'impayés sont établis au nom de mon père (décédé en 2000).
En raison de la maladie affectant mon père, je me suis toujours occupé depuis plusieurs années des papiers de mon père et je n'ai jamais eu connaissance de la signification d'un acte et si tel avait été le cas, cet acte aurait été réglé.
Il semble évident que ces relances, ayant débutés depuis la critique du constat rendu dans une autre affaire, que cet huissier cherche à "se venger".
Mon amie n'a pas trop su quoi me conseiller dans ce domaine, avez vous des idées ?,
Hormis le fait que l'huissier se doit de prouver qu'un acte ait bien été délivré (mais nous imaginons le pire, vu le constat qui a été rendu, il semblerait que cet huissier ne recule devant rien) quels pourraient être mes recours en la matière ?
La prescription sur ce genre d'acte est bien de 30 ans ? La dette ne s'éteint pas avec le décès ou la clôture de la succession ? On recherche vraiment toutes les possibilités envisageables qui pourraient m'éviter le pire.
En fait les relances sont toutes adressées au nom de mon père. Elles sont toutes renvoyées à l'expéditeur avec la mention que la personne est décédée.
Mais l'huissier ne désempare pas et continue.
Donc pour être plus précis, mes questions sont :
Jusqu'où un huissier peut il aller au motif qu'il prétendrait recouvrer des frais d'un acte qu'il aurait signifié à une personne maintenant décédée ?
(la succession est bien évidemment close depuis 2000)
Quelles preuves doit il apporter qu'un acte ait bien été signifié ?
Ai-je tort en pensant que sûrement la signification doit avoir été revêtue de la personne à qui l'acte aurait été signifié et le type d'acte doit être indiqué ?
Dans tous les cas l'huissier doit être en mesure de fournir une copie à la fois de la signification et de l'acte signifié, non ?
Voilà, j'espère que les interrogations qui se posent dans cette affaire sont définies assez clairement. Merci à tous par avance pour vos réponse.