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Reponse à AIKI!

MessagePosté: Ven 13 Mai 2005 14:40
de sladj
Desolée je me suis embrouillé avec le nombre d'heure de formation!! :oops:

Alors je recommence!lol

La reforme du CRFPA qui s'appliquera dés janvier 2006, précise que les docteurs en droit seront soumis à une formation de 18 mois! Puis apres avoir obtenus le CAPA, ils devront, ainsi que tous les autres avocats faire encore 20h de formation (et plus 200H comme c'etait le cas jusqu'à présent)!

J'espére que c'est plus clair maintenant! :D

Re: Reponse à AIKI!

MessagePosté: Ven 13 Mai 2005 20:29
de aiki
sladj a écrit :Desolée je me suis embrouillé avec le nombre d'heure de formation!! :oops:

Alors je recommence!lol

La reforme du CRFPA qui s'appliquera dés janvier 2006, précise que les docteurs en droit seront soumis à une formation de 18 mois! Puis apres avoir obtenus le CAPA, ils devront, ainsi que tous les autres avocats faire encore 20h de formation (et plus 200H comme c'etait le cas jusqu'à présent)!

J'espére que c'est plus clair maintenant! :D


Eh bien là, on est d'accord :wink: : les 200 heures pendant le stage sont évidemment supprimées.

Consultant et monopole des avocats

MessagePosté: Mar 17 Mai 2005 11:49
de natho
Bonjour,

Je me trouve, pour ma part, dans une situation particulière. Simple et modeste juriste issu d'un DESS, non titulaire du CAPA, je souhaite m'installer en tant consultant en risques (je ne préciserai pas plus car le secteur est très spécialisé et je tiens à garder l'anonymat). Je ne ferai pas du conseil au sens que les avocats l'entendent mais plutôt de l'aide dans l'élaboration des politiques de prévention et de sécurité. Bien sûr, en temps que juriste, je déchiffrerai et analyserai les différentes législations en la matière mais mon service aura une part importante d'opérationnel et d'aide à la décision. En bref, mes qualités de juriste serviront une activité liée à lz qualité et à la conduite de projets.
Quel regard portez-vous sur les risques encourus dans une telle activités au regard du monopole des avocats?

Merci.

MessagePosté: Mar 17 Mai 2005 11:56
de Guilain
bonjour et bienvenu,
nous sommes déjà un certain nmbre à intervenir dans le domaine de l'évaluation des risuques professionnels (document unique, ....) et leur prévention et je ne vois pas en quoi cela porte atteinte au monopole des avocats puisqu'il s'agit de prescritpions opérationnelles dans ce domaine et pas de conseils juridiques aus sens traditionnels du terme. et si il y en a il est forcément accessoire à cette activité principale.

MessagePosté: Mar 17 Mai 2005 17:01
de la vieille dame
Bonjour !

je suis un peu stupéfaite de lire ce que je lis sur ce forum aujourd'hui !
comment peux-t-on tout en étant doctorant, se poser de telles questions ??? NON, on ne peut normalement dispenser de conseil juridique, sauf à être avocat !!! ceux qui s'y emploient, risquent les foudres du barreau local et c'est bien normal.

pour une activité de "conseil" même réduite à une communauté précise : gare ! je connais une personne, ayant monté une asso 1901 en droit de la conso : plainte d'un avocat, puis du bâtonnier, puis de graves ennuis.

La réforme a été faite dans ce but : les conseils juridiques n'existent plus !!!
je ne comprends pas qu'un juriste se pose de telles questions ! Je suis d'accord avec HERVE lorsqu'il prévoit des risques. De plus, pour un juriste : c'est se griller irrémédiablement !

Voyez pour plus d'infos les jurisprudences incessantes et la bagarre entre les expert-comptables et les barreaux régionaux : et pourtant, les comptables sont à même de délivrer des conseils aux entreprises et les avocats ne laissent rien passer.

A part les agents immobiliers (ce quej'étais) et dans un cadre TRES règlementé, je vois pas ...

bon courage pour .... le CFPA !!!

Conseiller juridique

MessagePosté: Mer 18 Mai 2005 8:50
de Kali
Bonjour à tous,

Concernant le métier de conseiller juridique, pour info, je ne suis même pas sûre que nous puissions encore nous faire appeler ainsi depuis la fusion...

Pour ma part, je suis juriste depuis 12 ans et j'ai repris mes diplômes par le biais de la VAE.

Cependant, comme je coûte désormais trop cher aux employeurs, j'ai décidé de m'inscrire à l'URSSAF en tant que libérale et cela marche plutôt bien. Je ne le regrette pas

Je pense que ceux qui montent un cabinet en tant que conseillers juridiques prennent des risques. A la rigueur, il vaut mieux garder l'appellation de juriste ou consultant.

MessagePosté: Mer 18 Mai 2005 9:13
de kank38
D'accord avec KALI: le nom de "conseiller juridique" attirera les foudres des Barreaux, quels qu'il soient.

MessagePosté: Mer 18 Mai 2005 14:19
de la vieille dame
bonjour à tous !

ah, quand même !!! des gens informés !

eh bien oui, on ne peut PLUS ETRE CONSEILLER JURIDIQUE : c'est pourtant clair !

alors comment faire ? effectivement, on peut mener une activité de conseil - mais derrière une AUTRE ACTIVITE , et s'intituler "consultant" : ce qui ne veut rien dire, je vous l'accorde ... et y aller sur des oeufs en ce qui concerne ce que l'on rédige.

Pour ma part, je travaille toujours en second derrière un consultant, chargé de mission dans une entreprise et me charge de la partie juridique, le tout chapeauté avec un contrat signé avec une sté de portage salarial ... un peu "usine à gaz" je le reconnais.
mais c'est la loi ...

et si on n'est pas contents, eh ben on passe le CFPA : dura lex, sed lex ...
(ce que je fais d'ailleurs : à propos je vous laisse j'ai un commentaire d'arrêt à faire !)