Dilemme professionnel

Bonjour à tous,
Après avoir essuyé pendant 4 ans des refus professionnels et m'être enterré dans une fonction dédiée au recouvrement judiciaire dans une banque, je vois enfin des perspectives pro se dégager.
Mais j'hésite entre deux propositions :
-devenir collaborateur pour un administrateur judiciaire.
-intégrer une structure nationale de conseil aux agriculteurs en tant que juriste-fiscaliste.
Les postes ont leurs avantages et leurs inconvénients et j'avoue que j'hésite.
Le premier me permettrait de rentrer dans ma région d'origine et d'avoir un rôle "positif" dans le cadre de dossiers en procédures collectives. Néanmoins, le poste n'est pas très bien payé (même si j'ai négocié une rémunération bien plus élevée que ce qui était proposé) et l'ambiance a l'air particulièrement, n'ayons pas peur des mots, pourrie (l'entretien avec l'administrateur sentait bon l'agression gratuite et l'annonce téléphonique de ma candidature m'a rappelé les descriptions historiques de l'esclavage).
Le second poste a des fonctions élargies en matière juridique puisque la pratique du droit des sociétés, de la fiscalité, de la transmission du patrimoine et vraisemblablement du droit social est au programme. Le poste bénéficie en outre du statut cadre. L'énorme souci c'est sa localisation géographique car elle se trouve dans une minuscule ville à l'architecture ingrate et assez éloignée des agglomérations les plus proches.
Aujourd'hui, je m'interroge. Après quatre ans passé dans une banque, je voudrais donner un nouveau souffle à ma vie pro (la carrière je n'y crois plus trop).
D'un côté, je me dis que le premier poste me permettrait très certainement de consilder de nouvelles compétences en gestion d'entreprise, analyses financières mais de l'autre côté, j'ai peur de m'engager dans une voie de garage compte tenu de la spécificité des missions d'un administrateur judiciaire et la très faible probabilité de le devenir un jour.
Pour le second poste qui a pour l'instant ma préférence, j'ai un peu la même crainte. je ne voudrais pas qu'une étiquette "rurale" me colle au basque jusqu'à la fin.
Je suis donc en plein doute et j'aimerais receuillir certains avis, éclaircissements ou critiques (constructives) notamment de ceux qui sont passés par les structures que je viens de citer.
D'avance merci.
Après avoir essuyé pendant 4 ans des refus professionnels et m'être enterré dans une fonction dédiée au recouvrement judiciaire dans une banque, je vois enfin des perspectives pro se dégager.
Mais j'hésite entre deux propositions :
-devenir collaborateur pour un administrateur judiciaire.
-intégrer une structure nationale de conseil aux agriculteurs en tant que juriste-fiscaliste.
Les postes ont leurs avantages et leurs inconvénients et j'avoue que j'hésite.
Le premier me permettrait de rentrer dans ma région d'origine et d'avoir un rôle "positif" dans le cadre de dossiers en procédures collectives. Néanmoins, le poste n'est pas très bien payé (même si j'ai négocié une rémunération bien plus élevée que ce qui était proposé) et l'ambiance a l'air particulièrement, n'ayons pas peur des mots, pourrie (l'entretien avec l'administrateur sentait bon l'agression gratuite et l'annonce téléphonique de ma candidature m'a rappelé les descriptions historiques de l'esclavage).
Le second poste a des fonctions élargies en matière juridique puisque la pratique du droit des sociétés, de la fiscalité, de la transmission du patrimoine et vraisemblablement du droit social est au programme. Le poste bénéficie en outre du statut cadre. L'énorme souci c'est sa localisation géographique car elle se trouve dans une minuscule ville à l'architecture ingrate et assez éloignée des agglomérations les plus proches.
Aujourd'hui, je m'interroge. Après quatre ans passé dans une banque, je voudrais donner un nouveau souffle à ma vie pro (la carrière je n'y crois plus trop).
D'un côté, je me dis que le premier poste me permettrait très certainement de consilder de nouvelles compétences en gestion d'entreprise, analyses financières mais de l'autre côté, j'ai peur de m'engager dans une voie de garage compte tenu de la spécificité des missions d'un administrateur judiciaire et la très faible probabilité de le devenir un jour.
Pour le second poste qui a pour l'instant ma préférence, j'ai un peu la même crainte. je ne voudrais pas qu'une étiquette "rurale" me colle au basque jusqu'à la fin.
Je suis donc en plein doute et j'aimerais receuillir certains avis, éclaircissements ou critiques (constructives) notamment de ceux qui sont passés par les structures que je viens de citer.
D'avance merci.