réorientation juriste droit social handicape de l'expérience

Informaticien de profession (spécialisé dans les réseaux et le Hardware) j'ai également été représentant du personnel dans mon entreprise.
Cette activité m'a confronté à des problèmes juridiques pour lesquels je me devais de trouver des réponses pour les salariés ce qui dans le même temps attisait mon engouement pour le droit et le syllogisme.
J’ai donc entrepris en 2005 de passer une licence de droit à la faculté de Grenoble en régime à distance. J'ai finalement réussi à décrocher une maitrise de droit privé en 2009.
Mon activité de représentant du personnel a contribué à me fournir une certaine matière en droit social, et j'étais avantagé par rapport à mes camarades de fac, puisque déjà confronté en pratique aux licenciements économiques, reclassement pour inaptitude, fusion acquisition, négociations collectives, mise en place d'accord ou dénonciation d'accord collectifs, temps de travail effectif etc...
Je pensais cependant m'éloigner du droit social une fois mon M1 en poche et m'orienter vers du droit commercial (procédures collectives) ou des contrats. Cependant, rattrapé par la réalité, je réalise que c'est finalement le seul domaine où je possède une expérience significative dont j'aurais pu me prévaloir afin de travailler dans le droit laissant avec joie mes réseaux TCP/IP.
C'est ce du moins que je pensais.
En fait, dans les métiers du droit, présenter son expérience pratique comme étant celle acquise durant un mandat de représentant du personnel, c'est un peu comme si j'avais été génétiquement modifié.
Du coup, aucun retour à mes candidatures (cabinet d'avocats, de commissaire aux comptes), surement par peur du recruteur de voir une émanation marxiste débouler dans le cabinet.
Or dans mon esprit un employeur n'a pas forcément le mauvais rôle et inversement j'ai pu avoir à traiter des demandes opportunistes de certains salariés. Je pense pourtant que l'image qui se dégage, à tort, de mon parcours est celle stéréotypée d'un pro salarié.
D'après vous ce type d'expérience peut-elle avoir une valeur ajoutée, si oui auprès de qui?
Dans le cas contraire, j'imagine qu'il vaut mieux la dissimuler et se priver d'expérience ?
Cette activité m'a confronté à des problèmes juridiques pour lesquels je me devais de trouver des réponses pour les salariés ce qui dans le même temps attisait mon engouement pour le droit et le syllogisme.
J’ai donc entrepris en 2005 de passer une licence de droit à la faculté de Grenoble en régime à distance. J'ai finalement réussi à décrocher une maitrise de droit privé en 2009.
Mon activité de représentant du personnel a contribué à me fournir une certaine matière en droit social, et j'étais avantagé par rapport à mes camarades de fac, puisque déjà confronté en pratique aux licenciements économiques, reclassement pour inaptitude, fusion acquisition, négociations collectives, mise en place d'accord ou dénonciation d'accord collectifs, temps de travail effectif etc...
Je pensais cependant m'éloigner du droit social une fois mon M1 en poche et m'orienter vers du droit commercial (procédures collectives) ou des contrats. Cependant, rattrapé par la réalité, je réalise que c'est finalement le seul domaine où je possède une expérience significative dont j'aurais pu me prévaloir afin de travailler dans le droit laissant avec joie mes réseaux TCP/IP.
C'est ce du moins que je pensais.
En fait, dans les métiers du droit, présenter son expérience pratique comme étant celle acquise durant un mandat de représentant du personnel, c'est un peu comme si j'avais été génétiquement modifié.

Du coup, aucun retour à mes candidatures (cabinet d'avocats, de commissaire aux comptes), surement par peur du recruteur de voir une émanation marxiste débouler dans le cabinet.
Or dans mon esprit un employeur n'a pas forcément le mauvais rôle et inversement j'ai pu avoir à traiter des demandes opportunistes de certains salariés. Je pense pourtant que l'image qui se dégage, à tort, de mon parcours est celle stéréotypée d'un pro salarié.
D'après vous ce type d'expérience peut-elle avoir une valeur ajoutée, si oui auprès de qui?
Dans le cas contraire, j'imagine qu'il vaut mieux la dissimuler et se priver d'expérience ?