marianne a écrit :Avez-vous lu un récent numéro du Monde Initiatives - Emploi, où un sociologue écrivait que, selon des indicateurs objectifs, il n'ya plus d'avenir en France pour certaines catégories de diplômés, et où il incitait précisément ces gens à tenter une expatriation.
Personnellement, revenue de pas mal de choses, j'ai surtout envie d'avoir un avenir, et plutôt que de chercher en vain pendant des années dans un secteur sur-saturé, je me dirige de plus en plus vers la reconversion.
Quitte à être déclassé, autant avancer comme on peut, mais surtout AVANCER.
Cordialement,
Marianne
Ok, mais alors dans ce cas, comment on se reconvertit?
Qu'elles pistes utiliser?
Autant que faire se peut, il faudrait tâcher de trouver une voie pas trop éloignée de ce qu'on a appris pendant son diplôme. Seul pb, l'absence d'expérience reste patente, ipso facto, en cas de reconversion. Comment surmonter ce handicap à nouveau?
Il faut sans doute choisir une voie porteuse en termes d'emploi, avec dans l'idée qu'on part de zéro, et qu'on n'a pas vraiment d'avantages par rapport aux petits camarades plus jeunes. Si on ajoute à celà l'aspect psychologique (difficulté à rayer de la carte des études longues et couteuses, de repartir de zéro etc...) des choses on n'en finit plus.
Un point positif cependant, l'enthousiasme de repartir sur quelque chose de totalement nouveau, c'est excitant.
pfff c'est la quadrature du cercle tout ça...