Revoir son orientation pro : Pour où quitter le barreau ?

Bonjour à tous.
ça fait un sacré bail que je ne me suis pas manifesté sur la place du village. Mais j'ai néanmoins lu des trucs intéressants et beaucoup appris sur pas mal de questions. Je romps mon isolement pour traiter d'une question que très peu d'avocats osent aborder publiquement.
M'étant intéressé de plus près aux activités ordinales, j'ai eu la grande surprise de constater que beaucoup de jeunes et moins jeunes avocats vivaient du SMIC. Une fois leurs charges payées, ils étaient en fait dans la précarité la plus sombre. Dans ces conditions le titre d'avocat n'était qu'un bien illusoire sésame aux simples retentissements sociaux.
Mon avis est simple sur la question. Il faut accepter de quitter la robe lorsque les circonstances du marché ne permettent plus de tenir.
J'ouvre donc ce sujet pour que ceux qui le souhaitent puissent apporter leur contribution à la réorientation professionnelle des jeunes avocats.
J'entends y contribuer de manière significative car dans une des pages de ma jeune vie, j'ai été Conseiller d'orientation pédagogique et professionnelle. Et depuis l'an dernier je forme les personnes à ce métier sur les plages horaires dont je peux disposer. Je suis en train de m'organiser pour labelliser ce métier dans les prochains trimestres.
Pour ceux qui sont interessés, contactez moi par mail (zixx@voila.fr).
Pour revenir au sujet central, j'indiquais donc que j'entends contribuer à la réorientation professionnelle des jeunes avocats à qui le barreau n'a pas apporté le bonheur promis, l'aisance escomptée.
Dès à présent, que pensez vous de cette passerelle pour quitter le barreau :
- Devenir Mandataire judiciaire au redressement ou à la liquidation des entreprises. C'est un examen (une sorte de concours), avec stage professionnel.
Le titre d'avocat pourrait constituer un atout majeur pour qui veut intégrer la profession.
Qu'en pensez-vous ? J'estime que c'est faisable. Mais est-ce souhaitable ? Pourquoi ou pourquoi pas ? Merci d'insister sur le marché, l'activité, la rémunération, etc...
Voici une seconde passerelle :
- Devenir Commissaire aux comptes.
Je crois qu'il y a un décret de 1969 qui organise la profession et qui prévoit des dérogations pour certaines catégories. Avoir été avocat peut constituer un avantage.
Une fois de plus, qu'une pensez vous ? Qui est pour et pourquoi ? Qui est contre et pourquoi ?
Nanar
ça fait un sacré bail que je ne me suis pas manifesté sur la place du village. Mais j'ai néanmoins lu des trucs intéressants et beaucoup appris sur pas mal de questions. Je romps mon isolement pour traiter d'une question que très peu d'avocats osent aborder publiquement.
M'étant intéressé de plus près aux activités ordinales, j'ai eu la grande surprise de constater que beaucoup de jeunes et moins jeunes avocats vivaient du SMIC. Une fois leurs charges payées, ils étaient en fait dans la précarité la plus sombre. Dans ces conditions le titre d'avocat n'était qu'un bien illusoire sésame aux simples retentissements sociaux.
Mon avis est simple sur la question. Il faut accepter de quitter la robe lorsque les circonstances du marché ne permettent plus de tenir.
J'ouvre donc ce sujet pour que ceux qui le souhaitent puissent apporter leur contribution à la réorientation professionnelle des jeunes avocats.
J'entends y contribuer de manière significative car dans une des pages de ma jeune vie, j'ai été Conseiller d'orientation pédagogique et professionnelle. Et depuis l'an dernier je forme les personnes à ce métier sur les plages horaires dont je peux disposer. Je suis en train de m'organiser pour labelliser ce métier dans les prochains trimestres.
Pour ceux qui sont interessés, contactez moi par mail (zixx@voila.fr).
Pour revenir au sujet central, j'indiquais donc que j'entends contribuer à la réorientation professionnelle des jeunes avocats à qui le barreau n'a pas apporté le bonheur promis, l'aisance escomptée.
Dès à présent, que pensez vous de cette passerelle pour quitter le barreau :
- Devenir Mandataire judiciaire au redressement ou à la liquidation des entreprises. C'est un examen (une sorte de concours), avec stage professionnel.
Le titre d'avocat pourrait constituer un atout majeur pour qui veut intégrer la profession.
Qu'en pensez-vous ? J'estime que c'est faisable. Mais est-ce souhaitable ? Pourquoi ou pourquoi pas ? Merci d'insister sur le marché, l'activité, la rémunération, etc...
Voici une seconde passerelle :
- Devenir Commissaire aux comptes.
Je crois qu'il y a un décret de 1969 qui organise la profession et qui prévoit des dérogations pour certaines catégories. Avoir été avocat peut constituer un avantage.
Une fois de plus, qu'une pensez vous ? Qui est pour et pourquoi ? Qui est contre et pourquoi ?
Nanar