dsathena a écrit :A mon sens le point de départ, c'est surtout la pauvreté, voire la nullité, des cours et des préparations des différents IEJ qui poussent les candidats à rechercher un enseignement de meilleure qualité, quel qu'en soit le prix.
Elle est là la vraie honte, à l'Université...
J'abonde tout a fait dans ce sens.
Dans mon IEJ par exemple, ou les cours avaient lieu la journee (donc impossible d'y aller si on travaille ou si on fait un Master en meme temps, puisque les cours ont lieu en meme temps), on nous a dit pour la note de synthese y a pas de methode, resultat en galop d'essai j'ai jamais depasse le 7.
A Capavocat, apres avoir eu la methode, je ne suis jamais passe sous la barre du 10, je suis montee jusque 16, et j'ai 13 au CRFPA! Quand on sait que c'est coeff. 2...
Moi je fais partie de la classe des feignantes pauvres, donc j'ai fait un stage remunere de 6 mois (du coup plus possible d'aller a l'IEJ, mais je faisais les devoirs, que j'essayais de rendre), et je me suis payee la prepa.
Pour l'essentiel, on y voit des gens motives, qui ont fait un M1 ou M2 en meme temps, ou qui travaillent ou ete en stage. Alors je suis d'accord sur le caractere inegalitaire de la prepa, mais c'est a l'universite de jouer son role, au lieu de blamer les prepas, il faut se demander ou sont alles les 400 euros de frais d'inscription a cet examen d'entree, parce que moi je n'ai jamais eu la reponse!