Réussir sa reconversion en devenant avocat

Bonjour à toutes et à tous,
Le cas qui est le mien doit être un peu particulier car j'ai beaucoup de difficultés à trouver des témoignages sur le sujet. Je m'explique.
Actuellement officier de Gendarmerie en exercice, je me prépare à une reconversion professionnelle prévue en 2014.
Passionné de droit, j'ai acquis de solides connaissances en droit pénal mais aussi en droit du travail que je pratique régulièrement.
Âgé de 50 ans, je suis titulaire d'un Master II de droit public, option sécurité publique. Motivé par une seconde carrière dans le droit, je caresse l'ambition de devenir avocat depuis plusieurs années. J'ai en effet une réelle admiration pour cette profession. Les contacts professionnels que je peux avoir avec les avocats sont toujours très bons et particulièrement enrichissants.
Ceux qui cherchent à opposer les enquêteurs aux conseils des personnes mises en cause se trompent de combat et desservent les acteurs de la justice, au premier rang desquels le justiciable et plus souvent la victime.
Il semble que je remplisse les conditions énoncées au quatrième alinéa de l'article 98 du décret n°91-1197 du 27 novembre 1991. C'est à ce sujet que je sollicite l'avis des éminents membres de ce forum.
Mon projet est-il réalisable au vu de ce texte ?
L'accès à la profession par la voie longue implique de consacrer les deux premières années d'exercice à la formation continue (déontologie et statut professionnel). Que cela signifie-t-il en pratique ?
Le moment venu, une demande d'admission au Conseil de l'Ordre du Barreau en vue d'une inscription vous paraît-elle recevable ?
Si cela est nécessaire, je suis prêt à accroître mes connaissances par une nouvelle formation universitaire complémentaire. Je prévois d'accomplir des stages en cabinets afin d'acquérir les outils qui me font certainement défaut.
Merci par avance pour les conseils que vous voudrez bien me donner.
Le cas qui est le mien doit être un peu particulier car j'ai beaucoup de difficultés à trouver des témoignages sur le sujet. Je m'explique.
Actuellement officier de Gendarmerie en exercice, je me prépare à une reconversion professionnelle prévue en 2014.
Passionné de droit, j'ai acquis de solides connaissances en droit pénal mais aussi en droit du travail que je pratique régulièrement.
Âgé de 50 ans, je suis titulaire d'un Master II de droit public, option sécurité publique. Motivé par une seconde carrière dans le droit, je caresse l'ambition de devenir avocat depuis plusieurs années. J'ai en effet une réelle admiration pour cette profession. Les contacts professionnels que je peux avoir avec les avocats sont toujours très bons et particulièrement enrichissants.
Ceux qui cherchent à opposer les enquêteurs aux conseils des personnes mises en cause se trompent de combat et desservent les acteurs de la justice, au premier rang desquels le justiciable et plus souvent la victime.
Il semble que je remplisse les conditions énoncées au quatrième alinéa de l'article 98 du décret n°91-1197 du 27 novembre 1991. C'est à ce sujet que je sollicite l'avis des éminents membres de ce forum.
Mon projet est-il réalisable au vu de ce texte ?
L'accès à la profession par la voie longue implique de consacrer les deux premières années d'exercice à la formation continue (déontologie et statut professionnel). Que cela signifie-t-il en pratique ?
Le moment venu, une demande d'admission au Conseil de l'Ordre du Barreau en vue d'une inscription vous paraît-elle recevable ?
Si cela est nécessaire, je suis prêt à accroître mes connaissances par une nouvelle formation universitaire complémentaire. Je prévois d'accomplir des stages en cabinets afin d'acquérir les outils qui me font certainement défaut.
Merci par avance pour les conseils que vous voudrez bien me donner.