8 mois de prison ferme à un élève-avocat pr 1 coup de poing
Posté: Ven 23 Jan 2015 12:56
La cour d'appel de Nimes vient en effet de me gratifier de cette condamnation alors que je venais de sortir d'une galère de 9 ans pour faire reconnaître en France mon doctorat (cf. ce sujet longuement traité à part dans ce forum) et que j'étais entré depuis 2 semaines à peine à l'EFB.
C'est là une autre conséquence de mes 9 ans d'exclusion, qui vient tout juste de me rattraper : en février 2012 (après 7 ans 1/2 d'exclusion), j'ai cédé à mon instinct paternel en frappant l'individu qui retenait depuis 5 semaines dans son foyer-prison mon fils de 13 ans et m'interdisait de le voir (malgré l'autorisation de la cour d'appel). C'est un péché véniel (moins d'un jour d'ITT), d'autant plus que sa sainteté le Pape vient de dire en interview qu'il aurait agi de même contre quiconque aurait porté atteinte à sa mère (il n'a pas osé parler de ses enfants, sans doute pour éviter le scandale)... Premier résultat : 100 heures de TIG données par le TGI d'Avignon ; mais, ayant cru comprendre que la moindre condamnation peut empêcher un avocat d'exercer, j'ai donc fait appel dans l'espoir d'une relaxe (due au comportement fort peu humain de l'individu frappé) ou d'une dispense de peine ou d'une indemnisation purement civile... L'audience d'appel a eu lieu 2 semaines après mon admission à l'EFB, j'ai donc cru bon de l'annoncer à la cour, tout fier de devenir bientôt son "auxiliaire", selon l'expression bien connue... D'où le nouveau résultat : 8 mois de prison ferme "sans aménagement" (dixit l'arrêt : des fois qu'on m'aurait laissé aller à l'EFB ou en stage en cabinet avec mon boulet de forçat caché dans mon cartable !) Et, un an après, la cour de cass. vient de juger que ce n'est là que bonne justice !
Si vous pensez que 8 mois fermes pour un seul et unique coup de poing (et alors que mon casier ne contenait qu'une simple amende avec sursis), c'est un peu trop (avec en plus l'interdiction définitive prévisible d'exercer la profession à laquelle je me serai préparé pendant 19 ans : 7 jusqu'au doctorat, 9 pour faire reconnaître en France ce doctorat et 3 à l'EFB), je suis à l'écoute de vos suggestions. J'ai bien contacté la "prestigieuse" LDH, mais elle m'a répondu ne pas s'occuper de violations des droits de l'Homme par les tribunaux français. Une telle condamnation disproportionnée devrait intéresser des journalistes (mais lesquels ?), d'autres assoc' (p. ex. des sections étrangères de la LDH, qui n'ont pas l'attitude servile de la nôtre envers nos juges) ou des avocats qui défendent les droits de l'Homme (il paraît que ça existe)...
Quant à la cause réelle de cette sévérité inouïe (qui nous ramène à l'époque de Jean Valjean et son vol d'un pain), elle m'a été révélée par la présidente de la chambre spéciale des mineurs de la même cour d'appel de Nimes (à l'audience sur le maintien de mon fils susmentionné en famille d'accueil) : ses collègues ont voulu me faire taire à jamais, après la vingtaine de procédures de toutes natures que j'ai lancées dans le but unique de faire libérer ce fils qui m'a été arraché. Un tel comportement (sanctionner lourdement un petit délit à cause de faits qui lui sont étrangers) est donc un indéniable détournement de pouvoir ; mais en France on ne peut pas faire réellement condamner les juges fautifs (aucune plainte au CSM n'aboutit). Je vais tout de suite faire une demande de révision (la révélation ayant été faite trop tard pour figurer dans le mémoire de cassation), mais encore faudrait-il que cette magistrate nimoise plus humaine que ses collègues réitère sa déclaration pour ma révision (l'humanité ne garantit pas le courage...)
C'est là une autre conséquence de mes 9 ans d'exclusion, qui vient tout juste de me rattraper : en février 2012 (après 7 ans 1/2 d'exclusion), j'ai cédé à mon instinct paternel en frappant l'individu qui retenait depuis 5 semaines dans son foyer-prison mon fils de 13 ans et m'interdisait de le voir (malgré l'autorisation de la cour d'appel). C'est un péché véniel (moins d'un jour d'ITT), d'autant plus que sa sainteté le Pape vient de dire en interview qu'il aurait agi de même contre quiconque aurait porté atteinte à sa mère (il n'a pas osé parler de ses enfants, sans doute pour éviter le scandale)... Premier résultat : 100 heures de TIG données par le TGI d'Avignon ; mais, ayant cru comprendre que la moindre condamnation peut empêcher un avocat d'exercer, j'ai donc fait appel dans l'espoir d'une relaxe (due au comportement fort peu humain de l'individu frappé) ou d'une dispense de peine ou d'une indemnisation purement civile... L'audience d'appel a eu lieu 2 semaines après mon admission à l'EFB, j'ai donc cru bon de l'annoncer à la cour, tout fier de devenir bientôt son "auxiliaire", selon l'expression bien connue... D'où le nouveau résultat : 8 mois de prison ferme "sans aménagement" (dixit l'arrêt : des fois qu'on m'aurait laissé aller à l'EFB ou en stage en cabinet avec mon boulet de forçat caché dans mon cartable !) Et, un an après, la cour de cass. vient de juger que ce n'est là que bonne justice !
Si vous pensez que 8 mois fermes pour un seul et unique coup de poing (et alors que mon casier ne contenait qu'une simple amende avec sursis), c'est un peu trop (avec en plus l'interdiction définitive prévisible d'exercer la profession à laquelle je me serai préparé pendant 19 ans : 7 jusqu'au doctorat, 9 pour faire reconnaître en France ce doctorat et 3 à l'EFB), je suis à l'écoute de vos suggestions. J'ai bien contacté la "prestigieuse" LDH, mais elle m'a répondu ne pas s'occuper de violations des droits de l'Homme par les tribunaux français. Une telle condamnation disproportionnée devrait intéresser des journalistes (mais lesquels ?), d'autres assoc' (p. ex. des sections étrangères de la LDH, qui n'ont pas l'attitude servile de la nôtre envers nos juges) ou des avocats qui défendent les droits de l'Homme (il paraît que ça existe)...
Quant à la cause réelle de cette sévérité inouïe (qui nous ramène à l'époque de Jean Valjean et son vol d'un pain), elle m'a été révélée par la présidente de la chambre spéciale des mineurs de la même cour d'appel de Nimes (à l'audience sur le maintien de mon fils susmentionné en famille d'accueil) : ses collègues ont voulu me faire taire à jamais, après la vingtaine de procédures de toutes natures que j'ai lancées dans le but unique de faire libérer ce fils qui m'a été arraché. Un tel comportement (sanctionner lourdement un petit délit à cause de faits qui lui sont étrangers) est donc un indéniable détournement de pouvoir ; mais en France on ne peut pas faire réellement condamner les juges fautifs (aucune plainte au CSM n'aboutit). Je vais tout de suite faire une demande de révision (la révélation ayant été faite trop tard pour figurer dans le mémoire de cassation), mais encore faudrait-il que cette magistrate nimoise plus humaine que ses collègues réitère sa déclaration pour ma révision (l'humanité ne garantit pas le courage...)