LE FORUM DES MEMBRES DU VILLAGE

Bonjour,
Et prévoyez un bon fauteuil et la bouteille de whisky....

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J'avoue être un peu déçu du manque d'intérêt pour mon "thème" de débat. A croire que tous les avocats ont déjà subi (ou vont subir) une condamnation équivalente... Et il est vrai qu'un excès de vitesse (constaté par agent assermenté) peut vous envoyer en prison pour mise en danger d'autrui, qu'une TVA non reversée peut vous envoyer en prison pour fraude fiscale, qu'un produit oublié dans votre caddie peut vous envoyer en prison pour vol... De sorte que la situation normale de tout citoyen français est en prison, la liberté n'étant qu'une exception à la règle (telle que je l'ai comprise de la cour d'appel de Nimes).

Tous vos conseils sont donc bienvenus : comment dénoncer cet acte de malveillance judiciaire ? comment être écouté de journalistes ? comment rédiger la demande de révision ? ou de grâce ? comment échapper à une arrestation ?

Merci d'avance pour vos conseils !

Un ex futur avocat qui s'est battu durant plusieurs années pour faire reconnaitre son diplôme étranger, qui au final ne pourra pas prêter serment parce qu'il se retrouve avec un casier judiciaire chargé (motif : coups et blessures avec circonstances aggravantes).
Et cet ex futur avocat se permet de crier à la dictature parce que la justice a bien fait son travail.

Cher monsieur, quand on se prédestine à la carrière d'avocat, on n'emploie pas des coups de poings pour régler ses litiges.
Quelques soient vos motifs, votre attitude vous disqualifie de la professions d'avocat.

Les retours d'expériences ne vous serviront à rien, car, vous n'aviez pas à vous servir de la force physique pour faire appliquer une décision de justice.
Cordialement

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Mince, j'avais pas vu la suite du complot contre notre ami docteur en droit de l'université de Lomé. Faut vraiment que je revienne plus souvent par ici !

Attendu qu'il résulte de l'arrêt attaqué et des pièces de procédure que M. X..., déclaré coupable de violences et outrage aggravés, a été condamné par le premier juge à deux mois d'emprisonnement avec sursis assorti de l'obligation d'accomplir un travail d'intérêt général ; qu'il a relevé appel de cette décision, ainsi que le ministère public ; que l'arrêt attaqué, après avoir confirmé la déclaration de culpabilité, l'a condamné à huit mois d'emprisonnement et cinq ans de privation des droits civiques, civils et de famille ;