Démission de collaboration

Bonjour,
Je suis actuellement avocat collaborateur et j'envisage sérieusement (le doux euphémisme) de quitter la profession : je vais subir plusieurs entretiens au cours du mois afin de devenir responsable juridique.
Or, je suis collaborateur depuis deux ans et demi et mon contrat prévoit (conformément au RIN) un délai de préavis de trois mois. Je sais d'ores et déjà, eu égard au manque de collaborateurs (fort turn over et nouveau régime de scolarité obligent), que mon patron risque de ne pas laisser passer (mais de mon côté je n'ai pas envie de lui faire de cadeau au regard de deux années d'exploitation).
C'est pourquoi je m'interroge : quels risques si je n'effectue pas mon préavis (disciplinaire, indemnitaire) ? Dans l'hypothèse où je peux craindre un risque sérieux, pensez-vous que négocier une maigre clientèle (à savoir une entreprise relativement importante) peut permettre de compenser. Avez-vous d'autres idées pour négocier ?
Au passage, si certains connaissent les règles d'omission, voire les règles comptables de clôture d'exercice pour fin d'activité, je suis preneur (hé oui les cours du CRFPA ne nous préparaient pas à ça).
Je remercie d'avance toutes les bonnes volontés
P.S. : veuillez m'excuser pour l'anonymat mais je ne souhaite pas le clamer haut et fort pour l'instant.
Je suis actuellement avocat collaborateur et j'envisage sérieusement (le doux euphémisme) de quitter la profession : je vais subir plusieurs entretiens au cours du mois afin de devenir responsable juridique.
Or, je suis collaborateur depuis deux ans et demi et mon contrat prévoit (conformément au RIN) un délai de préavis de trois mois. Je sais d'ores et déjà, eu égard au manque de collaborateurs (fort turn over et nouveau régime de scolarité obligent), que mon patron risque de ne pas laisser passer (mais de mon côté je n'ai pas envie de lui faire de cadeau au regard de deux années d'exploitation).
C'est pourquoi je m'interroge : quels risques si je n'effectue pas mon préavis (disciplinaire, indemnitaire) ? Dans l'hypothèse où je peux craindre un risque sérieux, pensez-vous que négocier une maigre clientèle (à savoir une entreprise relativement importante) peut permettre de compenser. Avez-vous d'autres idées pour négocier ?
Au passage, si certains connaissent les règles d'omission, voire les règles comptables de clôture d'exercice pour fin d'activité, je suis preneur (hé oui les cours du CRFPA ne nous préparaient pas à ça).
Je remercie d'avance toutes les bonnes volontés
P.S. : veuillez m'excuser pour l'anonymat mais je ne souhaite pas le clamer haut et fort pour l'instant.