Sous-faturation de prestations d'avocats ?

Lu sur un article de http://www.lawinfrance.com :
Nous assistons à un véritable match entre facturation élevée pour les cabinets hauts de gamme bien installés et facturation modérée pour les cabinets nouveaux entrants. "Etre moins cher", c’est le pari qu’a fait le cabinet De Gaulle Fleurance et associés, et qui a fini par payer avec une augmentation du chiffre d’affaires de 39% pour l’année 2004 (source : lettre "juristes associés"). Alors que les honoraires moyens d’un cabinet parisien tournent autour de 500 euros de l’heure, ce jeune cabinet a préféré plafonner ses honoraires à 330 euros ! Et comment fait-il alors pour rémunérer ses avocats ? En faisant des économies sur les bureaux. Cette stratégie intelligente est finalement conforme à la tendance actuelle du low cost : se concentrer sur son cœur de métier, tout en supprimant les services superflus...
Qu'en pensez-vous : N'est-ce pas revenir à la réalité pour de nombreux cabinets qui sur-facturaient ?
Ou bien au contraire est-ce "le début de la fin" pour la profession (si l'on envisage que la tendance ira jusqu'au dumping de prestations...) ?
Nous assistons à un véritable match entre facturation élevée pour les cabinets hauts de gamme bien installés et facturation modérée pour les cabinets nouveaux entrants. "Etre moins cher", c’est le pari qu’a fait le cabinet De Gaulle Fleurance et associés, et qui a fini par payer avec une augmentation du chiffre d’affaires de 39% pour l’année 2004 (source : lettre "juristes associés"). Alors que les honoraires moyens d’un cabinet parisien tournent autour de 500 euros de l’heure, ce jeune cabinet a préféré plafonner ses honoraires à 330 euros ! Et comment fait-il alors pour rémunérer ses avocats ? En faisant des économies sur les bureaux. Cette stratégie intelligente est finalement conforme à la tendance actuelle du low cost : se concentrer sur son cœur de métier, tout en supprimant les services superflus...
Qu'en pensez-vous : N'est-ce pas revenir à la réalité pour de nombreux cabinets qui sur-facturaient ?
Ou bien au contraire est-ce "le début de la fin" pour la profession (si l'on envisage que la tendance ira jusqu'au dumping de prestations...) ?