Offres d'emploi, de collaboration et stages du Village de la Justice

2746 Annonces en ligne
18893 Candidats actifs *
1912 Recruteurs récents *

 Déjà inscrit ?

M1

Stage ou alternance - droit public des affaires / Grands projets - janvier ou mars 2026

Offre d'emploi : Stage ou alternance - droit public des affaires / Grands projets - janvier ou mars 2026

  • Recruteur : LexCase
  • Publié : 14/04/2025
  • Région : Paris (Ile de France)
  • Type de contrat : Stage
  • Niveau minimum requis : M1
 Le Cabinet LexCase recherche un(e) stagiaire / alternant(e) élève-avocat pour son département Droit Public des Affaires - Grands projets (bureau de Paris) pour une durée de 6 mois.
 
Ce stage ou cette alternance s’inscrit dans le cadre du stage de fin d’école des avocats, à partir de janvier ou mars 2026.
 
Notre Cabinet :  Le cabinet LexCase est un cabinet d’avocats pluridisciplinaire spécialisé en droit privé et public des affaires.
 
LexCase est présent à Paris, Lyon et Marseille. L’équipe compte plus de 60 professionnels répartis dans ces trois villes et est le partenaire français de cabinets étrangers. 
 
Fort de ses transformations, le cabinet est aujourd’hui une référence en droit public des affaires et sur les opérations de construction des grands projets publics et privés en France.
 
Notre équipe :
 
Le département Droit Public des Affaires - Grands Projets assiste et défend des entreprises dans des domaines variés (contrats publics d’affaires / construction –/ droit réglementaire / corporate public).
 
Notre équipe est composée de 3 associés et 8 collaborateurs.
Missions :
 
Vous serez parfaitement intégré au sein de notre équipe de Paris (équipe à taille humaine), avec pour objectif d’assister les avocats du département tout au long de la vie des dossiers, et d’être impliqué dans l’ensemble des activités de notre département (recherches et analyse, rédaction de notes et projets de consultation, rédaction de conclusions, rédaction de contrats, préparation des contentieux, veille juridique, etc.).
 
Profil recherché :
 
Niveau d’études requis :M1 et/ou M2 en droit public général ou droit des contrats publics, droit de la construction, admis à l’école d'avocats
 
Qualités recherchées :Rigueur, autonomie, curiosité, sens du travail en équipe et maîtrise des bases de données juridiques.
 
 Lieu :Paris
 Durée du stage :6 mois
 Date d’entrée en poste :Janvier ou Mars 2026

Rémunération proposée bien supérieure au barème des écoles d’avocats (+20%) 
Description de l'annonce :

 Le Cabinet LexCase recherche un(e) stagiaire / alternant(e) élève-avocat pour son département Droit Public des Affaires - Grands projets (bureau de Paris) pour une durée de 6 mois.
 
Ce stage ou cette alternance s’inscrit dans le cadre du stage de fin d’école des avocats, à partir de janvier ou mars 2026.
 
Notre Cabinet :  Le cabinet LexCase est un cabinet d’avocats pluridisciplinaire spécialisé en droit privé et public des affaires.
 
LexCase est présent à Paris, Lyon et Marseille. L’équipe compte plus de 60 professionnels répartis dans ces trois villes et est le partenaire français de cabinets étrangers. 
 
Fort de ses transformations, le cabinet est aujourd’hui une référence en droit public des affaires et sur les opérations de construction des grands projets publics et privés en France.
 
Notre équipe :
 
Le département Droit Public des Affaires - Grands Projets assiste et défend des entreprises dans des domaines variés (contrats publics d’affaires / construction –/ droit réglementaire / corporate public).
 
Notre équipe est composée de 3 associés et 8 collaborateurs.
Missions :
 
Vous serez parfaitement intégré au sein de notre équipe de Paris (équipe à taille humaine), avec pour objectif d’assister les avocats du département tout au long de la vie des dossiers, et d’être impliqué dans l’ensemble des activités de notre département (recherches et analyse, rédaction de notes et projets de consultation, rédaction de conclusions, rédaction de contrats, préparation des contentieux, veille juridique, etc.).
 
Profil recherché :
 
Niveau d’études requis :M1 et/ou M2 en droit public général ou droit des contrats publics, droit de la construction, admis à l’école d'avocats
 
Qualités recherchées :Rigueur, autonomie, curiosité, sens du travail en équipe et maîtrise des bases de données juridiques.
 
 Lieu :Paris
 Durée du stage :6 mois
 Date d’entrée en poste :Janvier ou Mars 2026

Rémunération proposée bien supérieure au barème des écoles d’avocats (+20%) 

Informations complémentaires :
  • Durée de contrat (si CDD ou intérim ou stage) : 6 mois
  • Date d'entrée en poste (à partir de) : 01/01/2026 01/01/2026
  • Revenu proposé : Rémunération proposée bien supérieure au barème des écoles d’avocats (+20%)
  • Fonction : Collaborateurs libéraux / salariés, et stages
Exemples de profils pour ce type de poste:

Voici un extrait des profils membres du Village de la justice pour ce type de poste...

Année(s) d'expérience. Revenu brut annuel Taille de l'entreprise Région
De 2 ans à moins de 3 ans50000 euros7 à 10 personnesParis (Ile-de-France)
De 8 ans à moins de 10 ans36000 euros4 à 6 personnesParis (Ile-de-France)
De 8 ans à moins de 10 ans156000 euros51 à 250 personnesParis (Ile-de-France)
De 3 ans à moins de 6 ans86000 euros51 à 250 personnesParis (Ile-de-France)
De 3 ans à moins de 6 ans39435 euros11 à 50 personnesParis (Ile-de-France)
[ Voir tous les profils ]
Village de la Justice https://www.village-justice.com/articles/ Actualités juridiques, forums pour les professions du droit (avocats, juristes, fiscalistes, notaires...), annonces d'offres d'emploi et de stages, interviews et portraits, dossiers Carrière juridique et vie des professionnels du droit... fr SPIP - www.spip.net La première décision « blockchain friendly » en propriété intellectuelle ? Par Karim Amrar, Juriste. Par Karim Amrar, Juriste. 2025-05-07 09:30:00 Dans une décision inédite du 20 mars 2025 (TJ de Marseille, 1ʳᵉ ch. civ., 20 mars 2025, RG 23/00046), la première chambre civile du Tribunal judiciaire de Marseille a rendu une décision reconnaissant la valeur probante d'un ancrage de fichiers dans la blockchain pour sa fonction d'horodatage et de conservation à l'occasion d'un litige en contrefaçon de droits d'auteur. Jusqu'à cette décision, les solutions jurisprudentielles françaises se sont faites rares sur la question. Il s'agit là de la première décision des juridictions civiles françaises qui se positionne en faveur de la reconnaissance de la blockchain en tant que mode de preuve recevable en matière de propriété intellectuelle, dès lors qu'elle (...) Lire la suite... > https://www.village-justice.com/articles/premiere-decision-blockchain-friendly-propriete-intellectuelle,53260.html?utm_source=backend&utm_medium=RSS&utm_campaign=RSS_Reseaux https://www.village-justice.com/articles/premiere-decision-blockchain-friendly-propriete-intellectuelle,53260.html?utm_source=backend&utm_medium=RSS&utm_campaign=RSS_Reseaux https://www.village-justice.com/articles/premiere-decision-blockchain-friendly-propriete-intellectuelle,53260.html?utm_source=backend&utm_medium=RSS&utm_campaign=RSS_Reseaux La première décision « blockchain friendly » en propriété intellectuelle ? Par Karim Amrar, Juriste. Village-justice Dans une décision inédite du 20 mars 2025 (TJ de Marseille, 1ʳᵉ ch. civ., 20 mars 2025, RG 23/00046), la première chambre civile du Tribunal judiciaire de Marseille a rendu une décision reconnaissant la valeur probante d'un ancrage de fichiers dans la blockchain pour sa fonction d'horodatage et de conservation à l'occasion d'un litige en contrefaçon de droits d'auteur. Jusqu'à cette décision, les solutions jurisprudentielles françaises se sont faites rares sur la question. Il s'agit là de la première décision des juridictions civiles françaises qui se positionne en faveur de la reconnaissance de la blockchain en tant que mode de preuve recevable en matière de propriété intellectuelle, dès lors qu'elle (...) Lire la suite > https://www.village-justice.com/articles/premiere-decision-blockchain-friendly-propriete-intellectuelle,53260.html?utm_source=backend&utm_medium=RSS&utm_campaign=RSS_Reseaux L'encadrement juridique du démarchage téléphonique : vers un « ouf » de soulagement pour les consommateurs à partir de janvier 2026. Par Alain Tamalgo, Juriste. Par Alain Tamalgo, Juriste. 2025-05-03 14:00:00 Depuis une dizaine d'années, le démarchage téléphonique s'est imposé comme l'un des canaux privilégiés par les entreprises pour la promotion de leurs offres. Mais face à l'explosion du volume d'appels commerciaux, les consommateurs voient leur vie privée mise à mal : sollicitation non désirée, horaires inappropriés… Face à cette intrusion croissante, la règlementation française ne cesse d'évoluer dans le but de mieux encadrer cette pratique commerciale qui est susceptible de porter atteinte à la vie privée des consommateurs. Le 6 mars 2025, l'Assemblée nationale a adopté en première lecture, avec modifications, la proposition de loi pour un démarchage téléphonique consenti et une protection renforcée des (...) Lire la suite... > https://www.village-justice.com/articles/encadrement-juridique-demarchage-telephonique-vers-ouf-soulagement-pour-les,53250.html?utm_source=backend&utm_medium=RSS&utm_campaign=RSS_Reseaux https://www.village-justice.com/articles/encadrement-juridique-demarchage-telephonique-vers-ouf-soulagement-pour-les,53250.html?utm_source=backend&utm_medium=RSS&utm_campaign=RSS_Reseaux https://www.village-justice.com/articles/encadrement-juridique-demarchage-telephonique-vers-ouf-soulagement-pour-les,53250.html?utm_source=backend&utm_medium=RSS&utm_campaign=RSS_Reseaux L'encadrement juridique du démarchage téléphonique : vers un « ouf » de soulagement pour les consommateurs à partir de janvier 2026. Par Alain Tamalgo, Juriste. Village-justice Depuis une dizaine d'années, le démarchage téléphonique s'est imposé comme l'un des canaux privilégiés par les entreprises pour la promotion de leurs offres. Mais face à l'explosion du volume d'appels commerciaux, les consommateurs voient leur vie privée mise à mal : sollicitation non désirée, horaires inappropriés… Face à cette intrusion croissante, la règlementation française ne cesse d'évoluer dans le but de mieux encadrer cette pratique commerciale qui est susceptible de porter atteinte à la vie privée des consommateurs. Le 6 mars 2025, l'Assemblée nationale a adopté en première lecture, avec modifications, la proposition de loi pour un démarchage téléphonique consenti et une protection renforcée des (...) Lire la suite > https://www.village-justice.com/articles/encadrement-juridique-demarchage-telephonique-vers-ouf-soulagement-pour-les,53250.html?utm_source=backend&utm_medium=RSS&utm_campaign=RSS_Reseaux La suppression judiciaire d'un contenu en ligne diffamatoire en cas d'anonymat de l'auteur : vers une modulation du principe du contradictoire. Par Raphaël Molina, Avocat. Par Raphaël Molina, Avocat. 2025-04-17 14:00:00 La Cour de cassation, dans un arrêt remarqué du 26 février 2025 (1re civ., n° 23-16.762, publié), admet qu'un contenu potentiellement diffamatoire puisse faire l'objet d'une injonction de retrait, même en l'absence de débat contradictoire avec son auteur, lorsque ce dernier est demeuré anonyme de manière délibérée. Cette solution constitue une évolution mesurée mais significative de la jurisprudence classique sur l'illicéité manifeste, et soulève des enjeux importants en matière de régulation des contenus en ligne. I. Un contexte jurisprudentiel longtemps dominé par l'exigence du contradictoire. 1. L'orthodoxie de l'illicéité manifeste. La régulation judiciaire des contenus publiés sur Internet repose, (...) Lire la suite... > https://www.village-justice.com/articles/suppression-judiciaire-contenu-diffamatoire-cas-anonymat-auteur-vers-une,53099.html?utm_source=backend&utm_medium=RSS&utm_campaign=RSS_Reseaux https://www.village-justice.com/articles/suppression-judiciaire-contenu-diffamatoire-cas-anonymat-auteur-vers-une,53099.html?utm_source=backend&utm_medium=RSS&utm_campaign=RSS_Reseaux https://www.village-justice.com/articles/suppression-judiciaire-contenu-diffamatoire-cas-anonymat-auteur-vers-une,53099.html?utm_source=backend&utm_medium=RSS&utm_campaign=RSS_Reseaux La suppression judiciaire d'un contenu en ligne diffamatoire en cas d'anonymat de l'auteur : vers une modulation du principe du contradictoire. Par Raphaël Molina, Avocat. Village-justice La Cour de cassation, dans un arrêt remarqué du 26 février 2025 (1re civ., n° 23-16.762, publié), admet qu'un contenu potentiellement diffamatoire puisse faire l'objet d'une injonction de retrait, même en l'absence de débat contradictoire avec son auteur, lorsque ce dernier est demeuré anonyme de manière délibérée. Cette solution constitue une évolution mesurée mais significative de la jurisprudence classique sur l'illicéité manifeste, et soulève des enjeux importants en matière de régulation des contenus en ligne. I. Un contexte jurisprudentiel longtemps dominé par l'exigence du contradictoire. 1. L'orthodoxie de l'illicéité manifeste. La régulation judiciaire des contenus publiés sur Internet repose, (...) Lire la suite > https://www.village-justice.com/articles/suppression-judiciaire-contenu-diffamatoire-cas-anonymat-auteur-vers-une,53099.html?utm_source=backend&utm_medium=RSS&utm_campaign=RSS_Reseaux