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J’ai du mal à voir dans cet arrêt un "frein" pour les salariés quant aux possibilités de dénoncer des comportements qui selon eux pourraient relever de harcèlement. Ce qui semble se dégager de la solution finale c’est une exigence de précision de la part des juges de la Cour de cassation. Il convient de dénoncer des faits précis, vérifiables, objectifs. Difficile pour l’employeur de vérifier (ou de tenter de le faire) si les faits décrits constituent un ensemble "vague". Il me semble qu’un salarié qui voudrait se positionner face à du potentiel harcèlement devrait à minima et assez rapidement soumettre des griefs très précis, circonstanciés, datés à son employeur. Même s’il peut sembler compliqué de décrire méthodiquement quelque chose de ressenti comme inacceptable, c’est la condition pour que les vérifications puissent se faire avec sérieux dans des dossiers toujours délicats, tant pour la supposée victime que pour le prétendu harceleur.