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Le harcèlement, qui fait ici l’objet de votre article, est l’un des aspects négatifs de cette si belle profession.
J’y ajoute l’inapplication du code du travail aux avocats collaborateurs (cessation du contrat de collab pour n’importe quelle raison, conditions de travail potentiellement précaires), synonyme de l’absence de garde-fou.
Non, tous les avocats ne sont pas des harceleurs en puissance.
Mais cette profession ne proposait (en tout cas jusqu’à il y a peu) aucune protection contre toute personne manipulatrice, perverse ou tout simplement méchante, consciente de la précarité de ses collaborateurs et en jouant.
Evidemment, cette violence existe aussi dans le monde des salariés mais il me semble qu’elle fait face à davantage de garanties de s’en prémunir.
Pour ma part, j’ai quitté le métier à cause de ces abus. J’insiste toutefois sur le fait que je n’ai pas été victime de harcèlement au sens strict du terme.
Enfin, il serait intéressant de connaître les raisons qui poussent les confrères à quitter la profession dans un laps de temps court, voire à ne jamais la rejoindre après avoir passé leur CAPA.