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nous ne sommes pas juriste, mais je dois dire que cette situation est extrêmement fréquente, avec des visites de reprise sans connaissance du salarié ou de l’entreprise c’est le lot des SST. Lors d"une visite il faut indiquer apte ou inapte au poste. Or l’article R 4624-42 nous demande d’échanger avec l’employeur, le salarié, de faire l’étude de poste et d’actualiser la fiche d’entreprise sans ces indications l’inaptitude ne peut être délivrée "ne peut constater l’inaptitude médicale ", s’il estime , le médecin du travail peut réaliser un second examen, certes mais comment donner un avis au premier examen , c’est une première visite inaptitude ? c’est n’est pas une aptitude puisque le salarié ne peut pas reprendre son travail ? que doit-on indiquer sur les conclusions ? inapte mais pas tout à fait ? aucune texte de loi, ni aucune circulaire DST , ni aucun médecin inspecteur du travail nous ont donné une solution. aussi le médecin a rempli annexe 4 ’inaptitude" sans précision de date avec une date de seconde visite puisque l’annexe 1 "aptitude" n’était pas possible, entrainant une confusion pour l’employeur. Je pense qu’un échange avec l’employeur aurait pu régler la chose. Aussi arrêter de pointer d’un doigt accusateur la médecine du travail avec son lot d’interprétation. Je pense qu’aujourd’hui elle reste un rempart à certain débordement et il faut la sauver car elle est en voie de disparition.