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Bonjour
Votre article a attiré toute mon attention. J’ai toutefois une question en relation avec votre sujet. Un salarié, avant le confinement 17/03, s’est vu notifié le 12/03 par lettre remise en main propre une mise à pied à titre conservatoire en vue de son licenciement pour faute grave. A noter que le salarié n’a fait l’objet d’aucun reproche, ni avertissement avant cette notification ni même une mise à pied disciplinaire. Il n’a pu se rendre à l’entretien prévu le 20/03. Il a respecté la consigne de confinement et ne s’est pas rendu à l’entretien. Par la suite, le directeur l’a contacté pour faire cette entretien par téléphone. Renseignement pris, le salarié a refusé l’entretien, souhaitant être présent et accompagné par une personne de l’entreprise qui aurait fait un compte rendu. Ce même directeur lui a donc envoyé un courrier avec AR lui signifiant les points d’accusation, demandant de lui faire un retour par courrier ou courriel sur les reproches qui lui sont faits. Aujourd’hui, le salarié n’a reçu aucune rémunération et se trouve, sans le vouloir, dans une situation de grande précarité.
Que peut-on lui conseiller ? Merci à vous