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Vous appelez à des arguments fiables et rigoureux, mais n’en utilisez aucun et n’êtes, visiblement, pas un spécialiste des affaires maritimes. C’est comme si je demandais à un avocat du travail de se prononcer sur un cas foncier. Je suis assez surpris de voir que
vous considérez la demande de cette ONG comme pouvant menacer les espèces (sans expliquer pourquoi), alors que sa demande est justement que les méthodes de pêche destructrices d’espèces soient abandonnées !
vous utilisez deux arguments qui se contredisent "Une mesure d’interdiction générale pénaliserait également la pêche artisanales déjà fort impactée" et "Les espèces d’eau profonde sont capturées dans les eaux de l’Atlantique au-delà des principaux lieux de pêche du plateau continental". La pêche artisanale par définition ne va pas pêcher dans ces eaux et n’utilisent pas les mêmes engins de pêche, donc je serais surpris de voir un impact sur cette pêche !
"la pêche en eau profonde a un impact très faible sur les ressources hallieutiques" :ce n’est pas forcément vrai (aucune étude précise n’a été menée il me semble), mais ce n’est pas tant la quantité pêchée le problème que les espèces qui, comme vous l’expliquez (donc en vous contredisant une nouvelle fois) atteignent leur maturité sexuelle très lentement donc ont de la difficulté à voir leur stocks se renouveller. Mais vous avez raison, il y a trop d’espèces animales sur terre, on peut bien en éteindre une ou deux ce n’est pas très grave !
Selon IFREMER : 90 % des captures sont constituées de 8 espèces : justement cela montre bien le manque total de sélectivité de cette pêche !!! Et les 10 % restants, toujours selon IFREMER, sont constituées de 92 autres espèces...
J’aurais attendu de votre part une analyse plus en fond, basée sur le droit, qui nous explique pourquoi cette bataille en se plaçant à un niveau juridique (les textes européens en jeu, les textes français etc). Je suis extrêmement surpris de ce billet, qui n’est rien d’autre qu’un simple avis sur la question, mal informé qui plus est. Gardez votre crédibilité que diable !