2021: nos intuitions pour les mois à venir.
Etudiants en droit, une situation compliquée en 2020-2021... mais vous n'êtes pas seuls !
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Je suis bavard... La suite
Je courbais le dos, tel le bambou dans les cyclones attendant les jours meilleurs et je m’attelai au travail...
Devant mon acharnement et ma capacité d’endurer l’exécutif alla jusqu’à se saisir d’un courrier établit par un administré contre moi pour porter plainte a mon encontre près du procureur de la république.
Bien entendu je n’étais nullement au courant.
Un jour,en effet, j’attendais depuis près de trois mois une rencontre avec mon DGS et mes supérieurs sur des avis d’une autorité supra communale relative à un de mes dossiers, en cours.
Je fus convoqué avec mon DGA, mon chef de service et mon DGS pour cette réunion.
Celle ci tourna court, car une fois entré dans le bureau de M le DGS ou m’attendait par ailleurs le DGA en charge de la RH, M le DGS après quelques interrogations poussifs et des affirmations mensongères me fit savoir qu’au regard du dossier dont j’avais la charge, l’exécutif souhaitait ne pas donner suite et que par ailleurs au vu de ces circonstances il me suspendait de mes fonctions avec effet immédiat, que je devais rentrer chez moi sans même me rendre à mon bureau et avec interdiction de reprendre contact avec mes collègues. il m’informait également que mes dossiers faisaient l’objet d’une saisie par des agents de la CL sur son ordre de même que l’ordinateur mis à ma disposition ainsi que tout ce qu’il contenait...
Le roman noir de mes déboires est encore long.... (La procédure dure depuis plus de trois ans et il est encore en cours) ...
J’ai eu droit à des convocations au commissariat, longues interrogations, confrontation avec l’administré revendicatif et non le maire qui avait porté plainte contre moi ... puis j’ai eu la surprise d’un second arrêté de suspension par l’exécutif, post délai de 4 mois, etc. etc. ...
Je saisis les juges en référé suspension, au fond, pour excès de pouvoir, rien n’y faisait une deuxième tentative au fond vit l’annulation du deuxième arrêté...
Entre temps, M le procureur fort de ces enquêtes, s’orientait vers un classement sans suite.
L’exécutif, au fait de cet élément décida alors, près d’un an plus tard, de saisir la doyenne des juges avec une plainte à mon encontre avec constitution de partie civile sur les mêmes éléments antérieurement cités... et pris un troisième arrêté de suspension a mon encontre que j’attaquai presque aussitôt au T.A... si ce n’est pas de l’acharnement ça..........
Inutile de vous dire que les mêmes scénarii décrits antérieurement revinrent avec en plus une convocation chez le juge au pénal sous statut de mise en examen annoncé, mais après mes explications avec mon conseil, mon statut fut requalifié en témoin assisté...