2021: nos intuitions pour les mois à venir.
Etudiants en droit, une situation compliquée en 2020-2021... mais vous n'êtes pas seuls !
DECOUVREZ:
96 fiches pratiques et des modèles pour maîtriser chaque type de rupture de contrat.
Ce nouvel ouvrage met en lumière l’actualité qui a marqué la matière ces deux dernières années.
11ème édition du concours des "Dessins de Justice", envoyez vos dessins jusqu’au 15 mars !
[Nouvelle parution] "Prison lisière" : la prison racontée autrement.
La Justice à la TV et en vidéo, programme des prochains jours...
La chaîne "Vidéos et droit" du Village de la justice:
merci pour cet article !
je travaille dans le secteur social et je suis en arrêt "maladie" et non pas d’accident du travail depuis mtn plus d’un an.... initialement pour burn-out, puis dépression sévère... au travail, j’ai vu ma situation s’aggraver de mois en mois, mais dans ces cas là on est dans le dénis, on se dit que demain sera un autre jour, que les responsables réagiront à nos alertes de surcharges de travail (que je pressentais sous forme de diagramme), à notre attitude devenue agressive et cynique qui n’était pas normale car sans précédents depuis 10ans de carrière dans cette structure, qu’ils constateront notre "allure zombifiée".... mais dans mon cas il n’y eu qu’ignorance, une sorte de mise au placard, on semblait plutôt m’éviter.... par professionnalisme je ne voulais pas lâcher le morceau puis un jour mon corps a lâché et là on se rend compte qu’on est en miettes... malgré mon état actuel, je ne me vois pas quitter mon travail (j’aimais mon travail, et j’étais reconnu aussi bien par les usagers que par mes collègues), j’ai espoir d’une reprise mais sous d’autres conditions.... mais j’appréhende, face à une direction régionale qui estime que mon arrêt est due à une situation personnelle et qu’ils n’ont aucune implication en cela, une institution qui ne veut pas reconnaître le burn-out malgré les nombreuses alertes de la médecine du travail et du CHSCT , une direction qui a justifié l’inactivité de mes responsables en me répondant que je n’étais pas le seul à avoir été en difficulté dans cet agence à ce moment là. on me conseille de changer de métier mais c’est atrocement terrifiant, et je ne peux détourner mon regard des autres collègues qui sont partis en dépression ou en burn-out mais qu’on garde sous silence... je fais pourtant parti d’une structure nationale, en lien avec le gouvernement, une structure à caractère social, avec la présence de psychologues du travail !!! et pour la sécu, j’ai eu deux contrôles. je suis tombé de haut quand durant le rdv on m’a dit de ne pas pas agrandir le trou de la sécu ! au second contrôle j’avais demandé au préalable un rendez vous avec un psychiatre et un nouveau rendez vous avec la médecine du travail et je leur ai demandé d’envoyé un courrier. face à un tel système, comment voulez vous que l’on défende nos droits et surtout notre santé !?