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Il y a quelque chose d’incompréhensible.
Les données SONT dans le commerce, c’est un marché de plusieurs milliard USD.
La GDPR organise cette utilisation et résulte donc en une auitorisation (du moment que les regles sont respoecté, on peut VENDRE et ACHETER des data). Oui il y a des regles, des protections, mais au final, les données SONT dans le commerce, vendues, achetées, en conformité avec la nouvelle loi.
Mais seules les GAFAM et autres sociétés peuvent le faire
Les individus n’auraient pas le droit de le faire, et pour celà on se base sur un dogme arbitraire qui vaut ce qu’il vaut mais a un caractère paternaliste (pauvre citoyen ignorant qui ne fait que des bétises, dites lui que ses données sont son corps (!) et qu’il ne nous embete plus..
Donc au final, les données sont hors commerce, mais elle le sont quand même.
La bataille n’est en aucun cas juridique, mais politique.
Petite précision : quand les société de consulting commence à parler d’un sujet, c’est en général 1 ou 2 ans après le débat de fond.
Heureusement, aucune start-up, aucun entrepreneur digne de ce nom, qui se bat pour redonner aux utrilisateurs le contrôle de leur données n’est arrétée dans ses projets.
On peut d’ailleur remarquer que depuis la GDPR, ce genre de projet reçoit autant, sinon plus, de financement qu’auparavant.
Cette évolution est inévitable, elle est souhaitable, elle est souhaitée (par les internautes et non pas par les marchand de données) et elle est en cours de réalisation.