Rarement un marché aura été aussi segmenté que celui de la data room virtuelle.
Presque tous les acteurs professionnels présents dans des opérations de Fusion Acquisition, les avocats au premier rang, mais aussi les cabinets spécialisés ou les experts comptables, partagent la même approche.
Pour les grosses opérations, les cabinets s’appuient sur l’un des grands acteurs, principalement anglo-saxons, de la data room numérique professionnelle. C’est compliqué mais leurs collaborateurs en ont l’habitude. C’est coûteux, mais le poste reste modeste dans l’ensemble des coûts de l’opération.
Pour les opérations moyennes et petites, les mêmes cabinets s’appuient sur des outils plus artisanaux du type Drop Box, WeTransfer, partages ou échanges de fichiers par mail, sauf si le client exige une data room virtuelle professionnelle, ce qui est encore rare.
Interrogés sur les raisons de cette approche différenciée, tous les professionnels ont la même réponse : il y a de forts avantages à la data room numérique professionnelle, mais le coût est encore beaucoup trop lourd pour une opération petite ou moyenne. Il est impossible à loger dans leur retainer et inacceptable par le client en refacturation.
Interrogés sur les avantages d’un processus par data room virtuelle, les professionnels citent cinq domaines :
La sécurité : celle des serveurs et leur lieu d’hébergement, de préférence en France, le cryptage pendant les transferts et durant l’hébergement, le marquage des documents, le blocage des copies, le respect du RGPD…
La traçabilité : retrouver ou récupérer les documents et messages que chacun a reçus, ce qu’il a consulté et quand il a consulté…
La simplicité : pour partager finement les informations, piloter les accès, les questions et les réponses, éviter les erreurs de diffusion…
Le confort d’une assistance de spécialistes, en français, mobilisable quand on le souhaite par mail et par téléphone.
Le temps de gestion réduit pour le cabinet, notamment en partageant une partie du travail de collecte et de vérification des documents avec le vendeur et son équipe.
Les cinq points de cette liste sont exactement ceux que respecte le cahier des charges des data room virtuelles MyCercle, conçues et hébergées en France. Et leur coût les rend compatibles avec l’économie d’une opération moyenne ou petite : absorbables par le retainer ou facturables au client.
Le coût d’abonnement suit exactement la logique et l’activité du cabinet :
Rien à payer s’il n’y a aucune opération en cours.
Sinon, un montant par opération de 20€ par mois hors taxe « tout compris », donc quel que soit la taille de l’opération, le nombre et le volume de documents, le niveau d’assistance, le nombre d’administrateurs et d’accès, le nombre d’étapes…
Dès qu’une opération est terminée, documents et traçabilités sont récupérés d’un clic, l’opération est supprimée d’un autre clic, et elle cesse d’être facturée.
Beaucoup d’abonnés utilisent MyCercle ponctuellement. Mais beaucoup aussi font de MyCercle leur extranet professionnel : un extranet dont ils contrôlent parfaitement le coût, qu’ils ont en quelques clics mis à la fois à leur image et à leur process, avec leurs étapes et leurs arborescences. Ils bénéficient en fonction de leur utilisation d’une réduction pour quantité, qui peut abaisser le coût mensuel par mandat très au-dessous de 20€.
Le test est gratuit sur mycercle.online.
Il peut se faire seul, ou accompagné au téléphone par l’assistance MyCercle : c’est la solution recommandée pour sa première data room MyCercle car si l’utilisation standard est extrêmement simple, il y a quelques astuces pour adapter exactement MyCercle à son process.