Bienvenue sur le Village de la Justice.
Le 1er site de la communauté du droit: Avocats, juristes, fiscalistes, notaires, commissaires de Justice, magistrats, RH, paralegals, RH, étudiants... y trouvent services, informations, contacts et peuvent échanger et recruter. *
Aujourd'hui: 156 550 membres, 28199 articles, 127 292 messages sur les forums, 2 600 annonces d'emploi et stage... et 1 500 000 visites du site par mois en moyenne. *
FOCUS SUR...
• 1er Guide synthétique des solutions IA pour les avocats.
• [Dossier] Le mécanisme de la concurrence saine au sein des équipes.
LES HABITANTS
Membres
Nouvelles parutions
Robert Badinter - L’œuvre d’un juste
« Un jour, je vous parlerai de la Justice...»
La Semaine Juridique - Édition Générale
Accédez à votre actualité juridique chaque semaine sous la plume d’auteurs de renom !
Sélection Liberalis du week-end : balade en terres corréziennes.
Les prochaines manifestations sportives des professionnels du Droit.
A voir et à Écouter... sur le Village de la justice:
Que de pinaillage, ai-je envie de dire...
Si vraiment c’est la volonté du défunt qui prime, je ne comprends vraiment pas la nécessité de toutes ces procédures, qui en fait fragilisent grandement l’acte de succession.
la Parole du testamentaire s’impose entre les tiers.
l’écrit lui donne une puissance légale aux yeux de la loi en cas de doute du testamentaire quant à l’entente de ses paroles.
Dans ma pensée, le fait est simple :
S’il est nommé, daté, et explicite, il fait loi.
L’insanité : si elle est reconnue, le juge devient le répartiteur en fonction des besoins des tiers, avec une échelle descendante au niveau familial, amical ou professionnel. (Lorsque je constate qu’un testamentaire n’est pas considéré comme insane lorsqu’il alloue ses biens à son chien au détriment de sa famille ou de l’espèce humaine, l’insanité doit être très difficile à évaluer à fortiori dans tous les autres cas).
La contrainte par contre reste opposable.
Le recours à un professionnel me semble utile, non pas pour lui donner des murailles, mais pour aider le testamentaire à rendre explicite ses ordres.
Ses ordres, oui. Car en fait, il en est bien de ce mot : volonté d’ordonnancement, mettre ses affaires en ordre.
Le Juge se doit en cas de testament bancale de décider, en se conformant à la loi, d’approcher au mieux la pensée découlant de la volonté testamentaire.