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Tres bonne observation de Dr. Sanogo, vu que la santé ne résonne pas dans les bouches de nos autorités faces à cette initiative qui marquera bientôt l’histoire de notre pays.
Et pour renchérir un peu vos propos cher Dr. Je pense qu’une question est en droit d’être posée : Existe-t-il pour l’homme un bien, plus précieux que la santé ?
Je pense bien que non ! Car, ce à quoi aspire chaque ivoirien sont : le bien être et la santé. Que pouvons nous apporter à notre pays, si nous n’avions pas d’infrastructures adéquates en matière sanitaire quand nous avions des soucis de santé ?
Nous attirons d’avantage l’intention des autorités ivoiriennes à ne pas mettre au coeur de cette initiative, seulement la politique. Mais d’y adjoindre "le bien être" et "la santé" des ivoiriens.
De plus, on ne peut parler d’émergence, si nos hôpitaux constituent de véritables voies qui mènent à la mort ; si nos établissements hospitaliers qui sont sensés nous apporter du réconfort, nous apportent la crainte, la mefiance et le despoir. C’est pourquoi une attention particulière doit être mise sur les principes regentant la santé en cote d’ivoire en plus de l’article 7 de la constitution.
En conclusion et comme l’a mentionné M. Sanogo, que cette révision constitutionnelle ne se limite pas qu’à la politique, mais qu’elle prenne en compte l’un des droits le plus important pour le citoyen : la protection de la santé sans oublier la qualité du système de santé.