Bienvenue sur le Village de la Justice.
Le 1er site de la communauté du droit: Avocats, juristes, fiscalistes, notaires, commissaires de Justice, magistrats, RH, paralegals, RH, étudiants... y trouvent services, informations, contacts et peuvent échanger et recruter. *
Aujourd'hui: 156 340 membres, 27868 articles, 127 257 messages sur les forums, 2 750 annonces d'emploi et stage... et 1 600 000 visites du site par mois en moyenne. *
FOCUS SUR...
• Assemblées Générales : les solutions 2025.
• Avocats, être visible sur le web : comment valoriser votre expertise ?
LES HABITANTS
Membres
Nouvelles parutions
Robert Badinter - L’œuvre d’un juste
« Un jour, je vous parlerai de la Justice...»
La Semaine Juridique - Édition Générale
Accédez à votre actualité juridique chaque semaine sous la plume d’auteurs de renom !
Sélection Liberalis du week-end : « Le Dernier Sacre » à la Galerie des Gobelins à Paris.
Les coups de coeur des libraires juridiques (épisode 2).
Sélection Liberalis spécial Jour ferié : le Paradox Museum Paris.
A voir et à Écouter... sur le Village de la justice:
Excellent article. Mais il y a t il un droit à la liberté d’expression dans les groupes de communautés sur les réseaux sociaux, et notamment en l’absence de tout texte clair et net sur le sujet dans les règlements des dites communautés ?
Autrement dit un modérateur d’un groupe de membres sur un réseau social a t il droit absolu et discrétionnaire, arbitrairement, de supprimer tout commentaire à sa guise, au pire d’exclure de bannir tout membre juste sur son seul bon vouloir ? Ou à l’inverse, outre la liberté contractuelle est le droit des contrats et des obligations, doit-il raisonnablement laisser la liberté d’expression de chacun prospérer en tant qu’elle est une liberté essentielle et fondamentale garantie par les 3 déclarations de droits d l’Homme ? (France, Nations Unies, Conseil de l’Europe). On parle évidemment de propos non réprimés, et qui restent dans les sujets et thèmes des groupes dont on parle.
En d’autres termes : sur les réseaux sociaux, les administrateurs de groupes peuvent ils, nonobstant, les règles contractuelles sur le sujet, être des dictateurs/censeurs du droit de s’exprimer en parfaite légalité ?