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Vous dites qu’en l’absence d’intervention humaine les droits appartiennent à l’auteur de l’IA, mais l’écriture du prompt est en soi une intervention humaine. Pour que ça ne soit pas le cas il faudrait que l’IA prenne des mots au hasard pour générer des images sans aucun contrôle possible, même si ça n’est pas impossible ce n’est pas vraiment l’usage qui fait débat.
Et même dans ce cas, si je choisis volontairement mon prompt de façon à ce que l’IA copie une oeuvre dont je détiens les droits, puis attaquer la société possédant l’IA pour contrefaçon ?
Si j’utilise l’IA pour générer des images pédopornographiques, puis-je attaquer la société d’IA pour création de contenu pédopornographique ? Si je n’en suis plus l’auteur, je n’en suis donc pas non plus responsable pénalement.
Comment déterminer quel degré d’intervention humaine est nécessaire ? Si je modifie un seul pixel sur une image générée à partie d’un prompt, puis-je revendiquer les droits ?
Qu’en est-il des images générée non pas à partir d’un prompt seul mais à partir d’une image source dont je suis l’auteur ?
Qu’en est-il de l’inpainting, outil permettant de régénérer par l’IA seulement une partie d’une image (sachant que la zone à redessiner est déterminée par une intervention humaine) ?
Pour moi l’IA n’est qu’un outil (même s’il est particulièrement évolué et révolutionnaire), ça ne devrait changer en rien les droits et les responsabilités des utilisateurs de cet outil, sinon ça fera jurisprudence et les droits des images réalisées avec Photoshop appartiendront à Adobe, les droits de toutes les photos appartiendront à Canon et autres constructeurs, etc...