Bienvenue sur le Village de la Justice.
Le 1er site de la communauté du droit, certifié 3e site Pro en France: Avocats, juristes, fiscalistes, notaires, commissaires de Justice, magistrats, RH, paralegals, étudiants... y trouvent services, informations, contacts et peuvent échanger et recruter. *
Aujourd'hui: 154 840 membres, 26006 articles, 126 988 messages sur les forums, 3 750 annonces d'emploi et stage... et 1 600 000 visites du site par mois en moyenne. *
FOCUS SUR...
• "Actus des Barreaux" n°16 : Numéro Spécial Barreaux du Grand Est et des Hauts-de-France.
• Lancement du Chatbot IA de recherche avancée du Village de la justice.
LES HABITANTS
Membres
Nouvelles parutions
Regards de juristes sur Les Aventures de Tintin.
Printemps digital chez LexisNexis !
Fonds de commerce 2023 - Ce qu’il faut savoir
Des réponses concrètes aux différentes problématiques juridiques posées par les fonds de commerce
Sélection Liberalis spécial jour férié : L’art à Sète et dans l’archipel de Thau.
[Nouvelle parution] Revue "Esprit, comprendre le monde qui vient".
La chaîne "Vidéos et droit" du Village de la justice:
[Vidéo] Les clichés des films de procès décortiqués par un avocat pénaliste.
Vous dites que la plupart des victimes se rendre sans l’assistance d’un médecin "contre expert" à l’expertise amiable, c’est souvent dû au manque d’information des victimes sur leur droit. Quand au rôle du juge, vous parlez d’une liberté illusoire bien qu’il ait le pouvoir de ne pas suivre aveuglément les conclusions de l’expertise amiable ou judiciaire. C’est humblement mon avis mais je pense que le juge dès lors qu’il peut s’appuyer sur des éléments de preuves tangibles a parfaitement la liberté de déterminer l’étendue du préjudice et surtout le montant de sa réparation ; croire que l’expertise contient toute la vérité et lui donné une importance qu’elle n’a pas, c’est de la naïveté vous le faite d’ailleurs remarquer. La polémique sur la réparation du préjudice corporel et son évaluation par expertise ne date pas d’hier et à été bien mis en évidence lors de l’élaboration de la nomenclature « dintilhac ». La vérité médicale et la vérité judiciaire sont distincte même si elle se rejoigne parfois.