LE FORUM DES MEMBRES DU VILLAGE

Perso j'ai fait le Dess droit immobilier de Paris 1.

Le droit immobilier est l'un des seuls secteurs du droit où l'on trouve du travail relativement facilement (notamment en IDF)

Pour celui de Paris 1, les cours sont majoritairement le soir, le diplôme bien reconnu et les profs compétents.

L'ich est très reconnu professionnellement et l'on peut choisir ces matières. Un Dess équivaut, je crois, à l'acquisition automatique d'une bonne partie de l'ensemble des matières proposés.

Je pense de plus en plus me réorienter vers le droit de l'immobilier et je me demande (hors question de coût de la formation) si il vaut mieux un faire DESS en droit immobilier ou faire l'ICH ???
Qu'est-ce qui me donnera le plus de chance de trouver un poste à la sortie, notamment en Province.
Pour info j'ai déjà un DEA en droit et un DESS en administration des entreprises, donc je peux a priori accéder de manière égale aux deux formations.
Par contre pensez-vous qu'il y a des débouchés dans ce domaine (parce que bon, un peu marre de cumuler les 3èmes cycles ...) ?
Merci !

J'ai un peu peur que votre parcours ne finisse par inquiéter un recruteur. Vous avez déjà deux 3e cycle et vous souhaiteriez en ajouter un 3e?? Attention, aux yeux d'un recruteur, cela peut apparaître comme de l'indécision, de l'incapacité à se lancer dans la vie ou à s'adapter à autre chose. Le forum est rempli de personnes exerçant dans un secteur pour lequel ils n'ont pas été spécifiquement formés.

Je ne voudrais pas vous décourager cependant, juste vous inciter à la réflexion sur ce point.

Par ailleurs, la réflexion de Joul sur les équivalences liées au DESS pour l'ICH me semblent une psite à explorer avant de vous lancer.

c'est ce qui me fait un peu peur, mais la réorientation peut être dure sans diplôme correspondant, en fait j'ai presque 4 ans d'expérience profesionnelle dans un domaine que je veux quitter alors je pensais qu'un diplôme en droit de l'immobilier m'apporterait une crédibilité dans ce domaine ... mais c'est vrai que l'étiquette de l'instabilité me guette ...