LE FORUM DES MEMBRES DU VILLAGE

bonjour,

je vois que je me fais désiré...
j'interviens donc pour cette raison, même si j'ai beaucoup à faire...
revenons au sujet, vous avez tous vus, ce matin si vous avez lu les journaux(et donc si vous avez fait l'effort de vous lever le matin...)qu'il était question des chômeurs
parmi les titres, on pouvait lire: contrôle des chômeurs dans les Echos, chômeurs, par ici la sortie dans Métro...
Donc, il faut arrêter un peu l'éxagération, cessons de se voiler le face, car si je me permets tous ces gens qui prétendent soutenir Amandine sont dans l'ensemble salarié autrement dit ils ne peuvent pas ressentir ce que cette dame,demoiselle? ressent.
Donc au lieu de l'encouragé dans son immobilisme, il faudrait peut être l'encouragé "à bouger".
Malheureusement, je dois m'arrêter là car je suis en train d'empieter sur ma pause déjeuner.
Bon courage Amandine, soyez moins négative car cela joue en votre défaveur, se positionner en tant que victime ça ne marche pas auprès des recruteurs;
Sachez que ces derniers sont à la recherche du candidat idéal
un recrutement est un investissement pour l'entreprise.
Au risque de vous décevoir, il n'existe a priori pas de prince charmant en matière d'emploi.
Cessez donc le pessimisme, bossez votre examen

Votre intolérance suffit. Le chômeur se définit par quelqu'un qui n'a pas ou plus d'activité professionnelle...soit par suite d'une démission, d'un licenciement, d'une RJ/LJ, de la fin d'un mandat social...
Bref, étant donné que la fin de cette activité peut être tout à fait involontaire de la part du principal intéressé, soit le chômeur, il est bien hasardeux de vouloir en dessiner un profil type car - sauf à garantir urbi et orbi la pérennité d'une activité sur la totalité de la durée d'une vie professionnelle, impliquant entre autres de braver le concept même de Force Majeure, puisque vous admettriez que ladite activité professionnelle puisse résister à tout événement, fût-il "insurmontable", "imprévisible" et/ou "irrésistible" - vous tout comme moi pouvons être amenés à devenir "chômeurs".

Maintenant, qu'il y ait certains chômeurs, quelque fût leur proportion, qui s'installent durablement dans l'immobilisme , soit. Mais là, encore, vous ne faites pas cas des raisons qui amènent un chômeur à se conforter dans cette situation, sous-entendant par là "ah non, ça ne m'arrivera jamais ! Je n'ai pas été éduqué de la sorte!".
Certains abusent du système par mauvaise volonté, certes.
D'autres perdent leurs repères face aux éternels refus des recruteurs et se sentent dévalorisés. Selon les caractères et les situations, certains baisseront les bras après le 92e refus lorsque l'autre cèdera au 167e.
Enfin, des circonstances personnelles peuvent amener à glisser vers son auto-dévalorisation. Le chômeur devra alors d'abord traiter ce problème personnel avant de prétendre à une recherche fructueuse d'emploi.
Je pense encore à l'absence total d'accompagnement dans le projet professionnel avant la période de chômage en France qui n'aide en rien.

Enfin, je constate que votre raisonnement échappe aux impérieuses précautions d'usage en matière "d'affirmation"...vous savez les "sous toutes réserves", "sauf exception", "d'après mon expérience", "certains sont"...non, vous nous gratifiez d'un "les chômeurs sont" démontrant par là-même que vous n'acceptez pas que l'on vous apporte l'argumentation et la preuve contraire.

Dès lors, la discussion est inutile.