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J’ai apprécié la lecture de cet article mais je pense qu’il décrit le scénario le plus noir qu’il puisse exister. Je ne dis pas que cette situation n’existe pas mais dans la majorité des cas, l’enquêteur tente de recueillir la vérité sur la commission de l’infraction avec les éléments de preuve dont il dispose dans le dossier. Il ne maîtrise qu’une partie de l’entière vérité et tente de recoller les morceaux de son puzzle. N’oublions pas que l’enquêteur travaille pour les magistrats mais surtout pour les victimes !
Dans la majorité des cas, les avocats présents, quand ils veulent bien assister à l’ensemble de la déposition, constate que les droits sont respectés et la dignité humaine également. Ils acceptent également le jeu joué par les policiers pour ’tirer les vers du nez du mis en cause’ et. coopèrent parfois avec eux. Certes les chambres du sûreté sont parfois sales et insalubres mais est-ce vraiment leur faute ? C’est l’Etat qui est responsable des infrastructures. Lorsque la personne rentre en chambre de sûreté, tous objets dangereux pour lui ou autrui lui sont retirés. Combien de suicide y-a-t-il en France dans les chambres de sûreté ou en prison avec des objets détenus sur eux (lunettes, lacets, ceinture, briquet....).
En revanche, je n’admets pas que le comportement des enquêteurs (Policiers ou Gendarmes) puisse être humiliant envers le mis en cause. Vous devez dans ce cas là faire des observations écrites circonstanciés pour que des sanctions puissent suivre.