Forum : Emploi et carrière

Sujet : Les jeunes diplomés face à la désinformation

Vos expériences, le marché de l'emploi, les évolutions de carrière et des métiers...
   

frontière entre les formations et le terrain

de veroniki   le Jeu 10 Fév 2005 13:05

  • veroniki
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C'est un gouffre qu'il ya entre les 2.
On se lance dans des études, en se disant, en croyant qu'en les poussant on va trouver du travail.
Nous faisons tous le constat : rien ne garantit l'employabilité.

J'ai réussi à trouver un job au bout de 10 mois, très longs... avec des reamrques du genre : désolé, votre formation n'e nous intéresse pas, tout le monde l'a... ou : vous auriez fait "tel diplôme" , votre cv était intéressant, mais là.... etc.

Miantenant je conseille aux étudiants qui s'orientent, de penser "après la formation" : d'accord, j'ai des envies, mais quel cursus, quel diplôme, quelle stage va me permettre de trouver un job ?

C'set sûr, ça demande de se projeter, de s'intéresser déja au marché de l'emploi, à anticiper..
Ce n'est pas glamour, mais peut être que ça m'aurait éviter la galère.

   un changement de mentalité nécessaire ?

de magic law   le Ven 11 Fév 2005 0:19

  • magic law
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Bonsoir,

Je viens de lire vos posts, vraiment très intéressants et justes... c'est vrai que la désinformation règne à la fac; mais je pense aussi que chaque étudiant ne doit pas se comporter en "neuneu" de base et se laisser berner par les discours enchanteurs des professeurs sur telle ou telle formation.

Personnellement, j'ai suivi une formation bilingue (le DEJA Anglo US de Paris X pour ceux qui connaissent) et j'ai vraiment apprécié la mentalité très dynamique insuflée par nos professeurs anglo américains ("never complain" quoi qu'il arrive, et suivre son idée jusqu'au bout, un sens de la pratique éprouvé); bien sûr cela ne plaît pas à tout le monde, je l'admets. Mais c'est peut être le petit plus qui a fait que j'ai été prise au bout de 4 mois de recherches actives, alors que j'étais en conccurrence directe avec qques JD prétentieux et pleins de suffisance, détenteurs des "meilleurs 3e cycles" des "meilleures facs de droit".

Le milieu du droit des affaires est très très très dur d'accès mais aussi très prenant une fois que l'on y est. Il exige énormément de ressources, autres que théoriques. Psychologiques par exemple.Et à l'entretien, c'est AUSSI et SURTOUT l'état d'esprit qui accroche le recruteur. Il faut bien sûr défendre ses prétentions et la qualité de ses diplômes, mais également montrer qu'on peut s'adapter...ne pas rechigner...

Bref, ceci est un long débat je l'avoue...

Ne cédez pas au découragement, accrochez vous!

Bonne soirée à vous

ML

   

de Axel   le Ven 11 Fév 2005 16:43

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Bonjour,

En lisant l'ensemble de vos posts, je prends conscience de ma chance puisque je n'ai jamais été confronté à de telles difficultés.

Cela étant, je suis assez d'accord avec Magic Law et j'ajouterais qu'il faut aussi que les étudiants se prennent un peu en main et n'attendent pas tout de leur formation et de leur diplômes qui en font sans doute de bon techniciens du droit, mais pas forcément de bons professionnels.

Je pose une question sans doute provocatrice : si certains étudiants ont certainement subi les effets d'une désinformation, n'est-ce pas parce qu'ils ne se sont pas informés en temps utile ?

J'irais même plus loin, MAIS SANS VISER QUICONQUE, NI GENERALISER : si certains se retrouvent à enchaîner les stages après leurs études, n'est-ce pas parce qu'avant d'entrer en 3ème cycle, ils n'en ont effectué aucun ?

Ma réflexion n'est issue que de ma propre expérience personnelle et je sais que la situation est un peu plus compliquée que cela. Aussi, bon courage à tous !

Bien cordialement

   

de Hervé   le Ven 11 Fév 2005 18:36

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Votre post, axel me fait penser à certains propos que j'ai pu entendre hors du forum (ceux qui n'y arrivent pas, c'est qu'ils ne cherchent pas bien, qu'ils ont des oeillères etc etc...).

Je n'ai pas vu d'animosité dans vos propos et je vous prie de ne pas en voir dans les miens non plus.

Je crois que la situation est dure pour les JD. Certains passent sans difficulté apparente à travers les mailles des difficultés et s'en sortent facilement ou sans problème majeur. Dire que leur situation, leur parcours est la preuve que les difficultés viennent des personnes qui les rencontrent est une sorte de déni.

Est-ce que les passagers du Titanic ont coulé parce qu'ils ont mal agi à bord, parce qu'ils ont choisi un navire qui était trop risqué pour une traversée?? Je ne crois pas. La vie est faite de beaucoup de choses, certaines agréables d'autres moins. ON peut très bien rencontrer une opportunité, avoir eu la chance de sonner à la bonne porte ou d'avoir pris contact avec la bonne personne, d'avoir plu à un recruteur alors qu'on n'a pas un CV extraordinaire ou une personnalité si "hors du commun" à nos yeux. On peut dire que cela vient du fait qu'on s'est bougé et que les autres ne doivent pas se bouger comme il faut, pas assez, ou rester obtus dans leurs idées.

Bien sûr que c'est à chacun de se prendre en main pour trouver un boulot, bien sûr que c'est à chacun de se présenter et d'être convaincant, d'être performant le jour d'un entretien ou lors de l'envoi d'une candidature. Cela étant, nier les difficultés des autres, je trouve que cela est presque aussi aveugle et infondé que de dire qu'on ne pourra jamais y arriver alors qu'on a déjà envoyé 200 candidatures en 1 mois et que ça n'a rien donné.

Accepter la différence, c'est aussi accepter les difficultés des autres là où nous n'en avons pas, là où nous n'en avons plus. On peut très bien se dire que si une personne ne se bouge pas d'elle-même elle n'arrivera à rien. Mais il me semble injuste et plus décourageant (voire déprimant) de dire que si elle ne trouve pas, après tout, c'est de sa faute et elle n'a qu'à se changer de recherches, ou chercher mieux ou chercher plus.

Sans tomber dans la pitié, ce que personne de digne n'accepte, l'empathie n'est pas interdite et l'entraide fait avancer tout le monde, celui qui aide comme celui qui est aidé. Du moins tant qu'on ne tombe pas dans l'assistanat.
Quand les cons voleront, il fera nuit en plein jour...

   d'accord avec Hervé

de sev   le Ven 11 Fév 2005 19:42

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Quant au fait de faire des stages avant le 3ème cycle , je ne suis pas sûre que ça dispense d'en faire après ... de toutes façons l'année de stages après le DESS ou DEA devient quasi systématique alors moi je serais presque partisante de dire aux titulaires de DEUG et licence de profiter de leurs vacances ou de renflouer leur portefeuille en prenant un boulot d'été plutôt que de faire des stages non payés qui ne leur seront pas forcément utiles et qui les mèneront au même point. Mais ça n'est que mon opinion et je risque de me faire lyncher en disant ça.
Quant au fait de ne pas s'informer il faut s'avoir que c'est très dur de s'informer à la fac des débouchés sachant que les profs ne sont eux même pas informés et que les débouchés apparents ne sont pas les débouchés réels (et ça tant qu'on ne s'est pas confronté reéllement au marché du travail dans un domaine donné en envoyant des candidatures on ne peut pas savoir). A moins de connaître des gens qui sont déjà passés par là... Il faut aussi savoir que tout change, les secteurs qui semblaient être porteurs il y a quelques années ne le sont plus focément aujourd'hui et ceux qui le sont aujourd'hui ne le seront peut-être plus demain ... Je comprends qu'on puisse reprocher à quelqu'un qui a étudié la philo du droit et qui pensait avoir un poste en entreprise en sortant de ne pas s'être informé (et encore peut-être cette personne avait-elle un projet précis en choisissant cette spécialisation) mais ce raisonnement ne peut pas être utilisé dans tous les cas, d'autres paramètres entrent en jeu ! Et quid des personnes qui se sont tout simplement trompé sur leur orientation ? Je trouve votre point de vue un peu tranché Axel ... OK, il est vrai que la plupart des étudiants ne se soucient réellement de ce qu'ils vont faire qu'au cours de leur 3ème cycle ou à la sortie de ce 3ème cycle, mais il faut que jeunesse se passe ... alors un peu d'indulgence !

   

de Axel   le Ven 11 Fév 2005 20:20

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Cher Hervé,

Je ne vois aucune animosité dans vos propos et je conçois parfaitement que mon post, quelque peu polémyque j'en conviens, puisse susciter la réaction qui est la vôtre.

Pourtant, je ne pense pas non plus que les JD qui ne trouvent pas d'emploi stable soient des débiles profonds, ou qu'ils cherchent mal, ou encore qu'ils ne se remuent pas.

Je nie encore moins la morosité actuelle du marché de l'emploi des juristes et les difficultés auxquelles sont confrontés les JD, notamment. Je sais aussi que je serais confronté à ces mêmes difficultés, et à un certain désespoir ou découragement, si je devais rechercher mon premier job actuellement. Mon post ne se voulait certainement pas "culpabilisateur", et s'il l'a été, j'en suis tout à fait désolé.

Ce qui m'a fait réagir en tout premier lieu (mais je conçois parfaitement que je puisse être dans l'erreur), c'est l'intitulé même du débat qui laisse penser que les étudiants seraient victimes de désinformation et que si aujourd'hui ils éprouvent les pires difficultés à trouver un emploi, c'est de la faute du système universitaire insuffisamment sélectif, des professeurs qui créent des 3èmes cycles inutiles, des gouvernements successifs qui restent immobiles, des recruteurs qui ne sont titulaires que d'une maîtrise ....

Ce discours qui revient à dire "Mais, on m'aurait menti ?" ou "C'est la Société, ou tel système, qui est responsable" me paraît aussi peu éclairé que celui des personnes étroites d'esprit affirmant sans complexes que "si des personnes sont au chômage, c'est parce qu'elles le veulent bien !" ou encore "si moi j'y suis arrivé, les autres n'ont qu'à en faire autant".

En second lieu, lorsque je parlais de mon expérience personnelle, je ne faisais pas allusion à mon parcours (je me suis mal exprimé), mais à mon expérience au sein du cabinet dans lequel je travaille puisque j'ai été récemment associé au recrutement d'un nouveau collaborateur.

Un recruteur ou un "patron" n'embauche pas un CV. Certes, les mentions et les 3èmes cycles sont rassurants. Cela étant, ce qui l'est bien davantage, c'est la multiplication des stages pendant le parcours universitaire, et le sentiment des confrères ou des entreprises sur la personne qui postule.

En d'autres termes, les diplômes ne constituent pas une fin en soi. C'est un préalable nécessaire, mais pas suffisant.

Encore une fois, je me garderai bien de généraliser, "mon" cabinet ne représentant qu'un type de recruteurs.

Bien cordialement

   

de Hervé   le Ven 11 Fév 2005 20:50

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Je comprends votre réaction à l'intitulé du sujet. En effet, il est un peu provocateur, mais c'est aussi ce qui fait qu'on va aller en lire le contenu, non? :wink:

Pour ce qui est du recrutement, je ne suis pas sûr que la multiplication des stages en cours d'études soit une méthode qui gagne à tout les coups. Nous avons vu des exemples sur ce même forum de personnes qui ont fait des stages tous les ans depuis la première jusqu'à la dernière année d'étude.

Je suis d'accord avec vous quand vous parlez à mot couvert de naïveté de la part de ceux qui voient l'avenir comme cela. La question est aussi à un autre niveau à mon sens. En tant que juristes lancés dans une carrière professionnelle avec plus ou moins de difficultés, devons-nous contribuer à ourir les yeux aux étudiants qui ne l'auraient pas encore fait?

Dans cette question il y en a plusieurs en fait. La première, au sens strict, revient à se demander si les personnes qui sont passées par là ont une légitimité et une vocation (même si le mot est fort) à partager leur vécu et celui de ceux qui l'entourent dans leur milieu professionnel.
La deuxième question est aussi de savoir si, une fois informés, les étuiants seront toujours aussi nombreux à persévérer dans cette voie. L'exemple des facs de psychos qui ne désemplissent pas pourrait venir me contredire, mais il faudrait aussi chercher à savoir ce qui fait qu'on vient s'inscrire en droit plutôt qu'en lettres ou autres.
Une troisième question se pose de savoir si les enseignants ne sont pas de bonne foi en proférant des bêtises à leurs étudiants. Je me souviens encore d'une enseignante que j'ai eu en DES qi ne comprenait pas qu'un étudiant de la promotion précédente avait pu accepter un emploi payé à moins de 10.000 FRF net mensuels. Le réalisme fait qu'aujourdh'ui, vu le marché du travail, certains seront obligés de s'en contenter. D'autres trouveront largement mieux, à Paris ou en Province. Mais certains enseignants semblent vivre déconnectés des réalités de la vie professionnelle hors de l'université.

Enfin, je confirme que si les diplômes sont un préalable, ils ne font pas tout et ce n'est pas forcément facile à concevoir ou intégrer pour beaucoup, y compris pour des recruteurs qui ne font leur sélection que sur des critères parfois étroits.

En tout cas, félicitation pour votre parcours (qui ne s'arrête pas aux études mais qui continue dans mon esprit pendant toute une carrière, une vie). S'il pouvait être un exemple pour tous ceux qui briguent le CAPA et une réalité plu souriante pour beaucoup.

Pour finir, qu'il soit clair que je ne jette la pierre à personne. Je cherche juste à raisonner sur un fait, vérifiable à tout moment: les JD sont dramatiquement mal préparés, par eux-mêmes ou par l'Université à affronter le milieu professionnel. Je ne dis pas que c'est à tel ou tel de se débrouiller pour que ça change. Je pense juste qu'en en discutant ici, nous pourrons peut être faire quelque chose ensuite (désolé, je suis un intarissable utopiste... :oops:)
Quand les cons voleront, il fera nuit en plein jour...

   Re: d'accord avec Hervé

de Axel   le Ven 11 Fév 2005 20:58

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Sev,

Je prends connaissance de votre post après avoir répondu à celui d'Hervé.

Quant au fait de ne pas s'informer il faut s'avoir que c'est très dur de s'informer à la fac des débouchés sachant que les profs ne sont eux même pas informés

Il existe tout de même des structures d'information et d'orientation à la fac, ainsi que des conseillers d'orientation. Enfin, comme il y en avait dans ma fac, qui est loin d'être importante ou "réputée", je supposais qu'il y en avait partout, mais ma déduction a peut-être été un peu rapide ...

les débouchés apparents ne sont pas les débouchés réels (et ça tant qu'on ne s'est pas confronté reéllement au marché du travail dans un domaine donné en envoyant des candidatures on ne peut pas savoir).

D'où l'intérêt des stages et de se confronter au monde du travail rapidement pour prendre ses décisions en toute connaissance de cause.

Je comprends qu'on puisse reprocher à quelqu'un qui a étudié la philo du droit et qui pensait avoir un poste en entreprise en sortant de ne pas s'être informé (et encore peut-être cette personne avait-elle un projet précis en choisissant cette spécialisation)

Je ne détiens pas de solution toute faite ou de recette miracle. Je me garderai donc de faire le moindre reproche à qui que ce soit

OK, il est vrai que la plupart des étudiants ne se soucient réellement de ce qu'ils vont faire qu'au cours de leur 3ème cycle ou à la sortie de ce 3ème cycle, mais il faut que jeunesse se passe ...

Précisément, jeunesse se passe ... et une fois qu'elle s'est passée, on fait quoi ?

alors un peu d'indulgence !

Le problème c'est que les recruteurs (avocats, entreprises ...) ne sont pas indulgents ...

   Totalement d'accord avec vous Hervé

de Axel   le Ven 11 Fév 2005 21:23

  • Axel
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Vous aurez compris que j'ai multiplié les stages, dont un de très longue durée. Cela m'a sauvé. Evidemment, il n'y a pas de recette miracle, et si ça a marché pour moi, ca peut ne pas le faire pour d'autres. Je souhaitais juste, en vous livrant à demis mots mon expérience, indiquer une piste, pas une solution toute faite. A mon avis, ça vaut le coup.

Quant à votre utopie, je la partage. Cela nécessite aussi un certain "volontarisme" et un certain pragmatisme de la part des étudiants qui doivent aller chercher l'information. Les carences des universitaires, c'est à eux d'y pallier, tout simplement parce que ce sont eux qui en seront les premières victimes.

   Re

de magic law   le Sam 12 Fév 2005 14:19

  • magic law
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Bonjour

Je viens de lire les poste d'Axel et de Hervé; je pense que vous avez tous les deux bien raison à votre manière, avec des raisonnements différents. Je connais des JD (de près de deux ans maintenant) qui rament et je ne serai certainement pas de ceux qui les culpabiliseront.

Personnellement, j'ai été marquée au cours de mes études par l'absence de "réalisme" dans lequel on nous entretenait...la barre était mise très haut intellectuellement, on devait être l'élite du monde juridique...

A mon avis, des stages (rémunérés!) obligatoires devraient être instaurés dès le DEUG, un peu comme dans les BTS et autres; rien de dégradant, mais au moins on sait à quoi s'attendre au bout de 5 années d'études.J'ai eu la chance de bosser chaque été dans un domaine lié au droit, certes, mais "physique" (!!) avec contact avec le public. C'est là que, même à mon petit niveau, je me suis rendue compte du fossé entre la théorie et la réalité du métier...

Je rejoins Axel quand il dit que l'indulgence n'existe pas aux yeux des recruteurs. ils recherchent un collaborateur aussi qualifié qu'eux, certes, mais aussi et surtout qqn d'efficace, qui a "vécu"...

Pour terminer, j'en conclus que la fac laisse sur le carreau bien des étudiants et que cela conduit à des situations dramatiques pour bcp. Mais à quoi sert de reporter la responsabilité sur elle? le dirigeant qui a fait confiance à ses banques, ses partenaires, une fois qu'il coule, que fait-il? il leur fait un procès?? non, d'abord par ce qu'il n'a pas les nerfs pour, ni pour payer son avocat, et ensuite parce qu' il est obligé de se débrouiller et d'assurer pour ses salariés. C'est une comparaison, mais après avoir été "lâché" par la fac, il faut malheureusement s'attendre à être lâché de manière bien pire après, dans la vie de tous les jours.

J'ai l'habitude de prendre du recul et d'aborder les choses de manière un peu pratique, j'espère que je ne choque personne en raisonnant de la sorte.

Je vous souhaite bon courage à tous

Amitiés

ML

   
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