LE FORUM DES MEMBRES DU VILLAGE

Salut !

Je viens d'avoir ma maîtrise et j'envisage de passer le concours d'entrée à l'école d'avocats l'an prochain et j'aimerais aussi suivre un master 2. On me dit que ça va être chaud (ce à quoi je m'attends de toute manière...) mais j'en ai vraiment envie. On me dit également qu'un DEA est peut-être plus simple à concilier avec l'IEJ qu'un DESS parce qu'il y a moins d'heures de cours, mais je me dis que les cours en DEA me serviront peut-être moins pour les épreuves d'IEJ...

Bref, j'ai besoin d'avoir votre avis, que vous me racontiez votre expérience etc.

Par ailleurs, existe-t-il des statistiques sur les chances de conciler les deux de front ?

Merci d'avance !

Ayant effectué cette année un DEA et l'iej, il est assez difficile de concilier les 2 !
Cependant, c'est possible, le nombre d'heures le permet mais la préparation ne pourra pas être aussi bien que si tu t'inscrivais seulement à l'iej.
si tu as des questions précises, j'y répondrai

Je ne vois qu'on ne se bouscule pas pour me répondre...

Ayant effectué cette année un DEA et l'iej, il est assez difficile de concilier les 2 !
Cependant, c'est possible, le nombre d'heures le permet mais la préparation ne pourra pas être aussi bien que si tu t'inscrivais seulement à l'iej.
si tu as des questions précises, j'y répondrai

J'ai aussi échoué au crfpa pour avoir essayé de cumuler les 2

Bonjour

Il est possible de réussir à la fois un Master 2 et l'IEJ, surtout quand on a votre motivation.

Quant à savoir s'il est préférable de choisir entre un DEA et un DESS, tout dépend du contenu propre à chaque formation.
C'est vrai qu'en DEA, vous aurez peu d'heures de cours, ce qui vous permettra de réviser votre examen tout au long de l'année et peut-être également d'assister aux cours de l'IEJ.
Mais l'inconvénient du DEA, c'est que pendant la période août-septembre, qui est celle où vous devrez tout donner au niveau de la révision des écrits (sans compter une éventuelle prépa d'été...), vous serez probablement accaparé par la rédaction de votre mémoire.
Si vous choisissez un DEA, il vous faudra sans doute faire votre mémoire plus tôt dans l'année pour garder toutes les chances de votre côté.

En DESS, vous pourrez également réviser vos cours pendant l'année en vous faisant un planning, et, dans une moindre mesure, suivre les cours de l'IEJ (dans certains IEJ la majorité des cours ont lieu le soir, et les galops d'essai le samedi, c'est très pratique).
Mais vous aurez une période, souvent de trois mois (normalement en juin-juillet-aout, mais tout dépend des formations), où vous serez en stage (+ rapport à rédiger).

Etudiez bien le programme de chacune des formations et le planning de votre IEJ avant de faire votre choix.

Pour ma part, l'année dernière quand je passais le concours, j'étais en stage en cabinet jusqu'en septembre, je n'ai donc assisté à aucun cours de l'IEJ, à part les entraînements à la NS les samedis (j'avais la chance de ne pas passer les épreuves juridiques). J'ai fait une prépa à partir d'aout, en aménageant mes horaires de stage, dans laquelle je me suis donnée à fond (c'était mon seul mode de révision) et je l'ai eu.

Avec la réforme, il me semble qu'il faut réviser les écrits à partir de mai-juin. Mais si votre emploi du temps (et votre porte-monnaie) vous le permet, je vous conseille de faire une prépa, ça vous remettra les idées en place, et vous empêchera de vous disperser dans votre préparation, tout en acquérant de bonnes méthodes.


Bonne chance à vous

Dsathena

DEA, DESS, qu'importe. Les cours délivrés par l'IEJ ne sont vraiment pas indispensables. Je n'ai assisté qu'à 2-3 cours l'an dernier, ce qui ne m'a pas empêché de décrocher l'examen d'entrée avec 13,5 de moyenne. En revanche, j'ai préparé l'examen avec capavocat, essentiellement pour le grand oral de libertés fondamentales et la note de synthèse. Le reste, c'est du bachotage : de bons bouquins, un travail sérieux en été et bien sûr, des capacités (mais potentiellement vous les avez) et ça roule. Vous savez, on dit que l'examen d'entrée est très sélectif... Mais il faut voir aussi ceux qui se présentent... Il y en a qui ne le méritent vraiment pas.

DEA, DESS, qu'importe. Les cours délivrés par l'IEJ ne sont vraiment pas indispensables. Je n'ai assisté qu'à 2-3 cours l'an dernier, ce qui ne m'a pas empêché de décrocher l'examen d'entrée avec 13,5 de moyenne. En revanche, j'ai préparé l'examen avec capavocat, essentiellement pour le grand oral de libertés fondamentales et la note de synthèse. Le reste, c'est du bachotage : de bons bouquins, un travail sérieux en été et bien sûr, des capacités (mais potentiellement vous les avez) et ça roule. Vous savez, on dit que l'examen d'entrée est très sélectif... Mais il faut voir aussi ceux qui se présentent... Il y en a qui ne le méritent vraiment pas.

Le fait que l'examen d'entrée soit sélectif n'empêche pas certains d'avoir beaucoup de chance

Ceux qui ont bien bachoté mais néanmoins raté peuvent en témoigner

Le fait que l'examen d'entrée soit sélectif n'empêche pas certains d'avoir beaucoup de chance

Ceux qui ont bien bachoté mais néanmoins raté peuvent en témoigner

C'est vrai, certains ont dû obtenir l'examen alors qu'ils le méritaient moins que d'autres, par chance comme vous dîtes. Mais globalement, je ne pense pas que l''on puisse assimiler un échec à de la malchance essentiellement. D'autres raisons entrent en considération, et bien souvent il s'agit d'un manque de maitrise du programme, d'un manque de rigueur et du stress. C'est ce que je peux dire pour les camarades qui ont échoué.

Un petite question subsidiaire : est-ce que le mémoire se fait nécessairement en juillet-août dans tous les DEA
Si c'est le cas, ça m'arrange pas tellement...

Un petite question subsidiaire : est-ce que le mémoire se fait nécessairement en juillet-août dans tous les DEA
Si c'est le cas, ça m'arrange pas tellement...

C'est en général le cas mais tout est négociable car j'en connais qui étaient arrivés à s'arranger avec le directeur de la formation