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Vous dites que la plupart des victimes se rendre sans l’assistance d’un médecin "contre expert" à l’expertise amiable, c’est souvent dû au manque d’information des victimes sur leur droit. Quand au rôle du juge, vous parlez d’une liberté illusoire bien qu’il ait le pouvoir de ne pas suivre aveuglément les conclusions de l’expertise amiable ou judiciaire. C’est humblement mon avis mais je pense que le juge dès lors qu’il peut s’appuyer sur des éléments de preuves tangibles a parfaitement la liberté de déterminer l’étendue du préjudice et surtout le montant de sa réparation ; croire que l’expertise contient toute la vérité et lui donné une importance qu’elle n’a pas, c’est de la naïveté vous le faite d’ailleurs remarquer. La polémique sur la réparation du préjudice corporel et son évaluation par expertise ne date pas d’hier et à été bien mis en évidence lors de l’élaboration de la nomenclature « dintilhac ». La vérité médicale et la vérité judiciaire sont distincte même si elle se rejoigne parfois.