LE FORUM DES MEMBRES DU VILLAGE

Bonjour,
Et très accessoirement...

mais je vous informe du salaire horaire d'un ingénieur travaillant 35 h hebdo et gagnant 4000 euros net par mois : à peine 30 €... et bien sûr 1,5 fois moins (=20 €) si l'ingénieur se dépense sans compter (52 h/semaine) pour sa boîte et son patron !

Et quand l'ingénieur est patron de sa propre boîte, je vous dis pas...

Encore quelques réponses :

* Je n'ai pas à défendre la profession d'ingénieur, puisque je ne pourrai plus jamais l'exercer (mes études de Droit, bien que non encore reconnues, m'empêchent d'y revenir) ; mais je vous informe du salaire horaire d'un ingénieur travaillant 35 h hebdo et gagnant 4000 euros net par mois : à peine 30 €... et bien sûr 1,5 fois moins (=20 €) si l'ingénieur se dépense sans compter (52 h/semaine) pour sa boîte et son patron !
Connaissez-vous beaucoup d'avocats ayant un salaire horaire aussi bas ? Alors vous comprenez pourquoi, avec mon bon sens d'ingénieur, je peux dire "cupides" les avocats qui gagnent beaucoup plus que 30 € à l'heure...

Ah oui quand même, vous avez des espérances de revenus assez conséquentes... Enfin bon, libre à vous hein...

* Le traitement de ma demande d'équivalence par Montpellier 1 a duré de janvier à juin 2011, soit 6 mois d'examen "attentif" de ma thèse, conclu par un rapport truffé de mauvaise foi (reproche sur le peu de livres utilisés, 75, alors qu'il n'y en avait pas d'autres sur mon thème ; attaques sur ma problématique et mon plan, pourtant choisis avec mon directeur de thèse, le doyen de ma fac de Lomé ; doute sur mon objectivité alors que les faits étudiés sont toujours nettement séparés de leur analyse ; rejet incongru d'évidences qui s'explique par la seule malveillance, etc.) Et mon critique croit ses turpitudes à l'abri du TA (qui a pour principe de ne pas contester les appréciations d'examen)... oui, mais ici ce n'est plus un examen (il a eu lieu en 2004 à Lomé, pas en 2011 à Montpellier) et puis le dénigrement manifeste de mon travail tombe sous le coup de la loi, ce qui augure mal pour mon prof démolisseur...
Quant à l'autre fac qui a accepté d'examiner cette même demande, elle a reçu tout le matériel depuis déjà 2 mois. Attendons donc.

Donc vous avez saisi d'abord le TA, ensuite une autre université. A première vue, j'aurais fait dans l'autre sens mais enfin...

* En précisant que "toubib" (mot arabe) ne désigne que les médecins, pas les docteurs en Droit, j'avoue préférer le latin moderne à l'ancien, vu que le moderne se comprend presque sans étude... et que l'ancien ne se comprend guère, même après une longue étude. Io invita le interessatos a se iniciar a ello gratias a mi blog, qui se pote acceder per le adresse http://WWW.INTERLAND.EU
E si mi entusiasmo pro este lingua, ello qui se comprende lo plus in Europa e in oltre continentes, serea le causa de mi ostracismo ? Un voluntat morbide de prohiber que un latinist moderne deveni advocato... e potester non respecta assaz le tradition juridic del latino antique. Qui lo save ?

Très accessoirement, c'est un abus de la part des médecins, dentistes et vétérinaires de se faire appeler "docteur" puisqu'ils n'en ont pas le grade : leur doctorat, d'exercice, est sanctionné par un diplôme de docteur en médecine alors que dans les autres disciplines, dont la nôtre, le docteur reçoit le grade de docteur et son diplôme se nomme doctorat, au terme d'un vrai travail de recherche.
Quant au latin moderne, j'en suis resté à la version florentine. "Morbido" en italien se traduit par "doux" et "mou" en français (et j'avoue que par malin plaisir, imaginer une volonté molle me fait immanquablement penser à François Hollande). Vous êtes certain de la simplicité de votre proposition ?

(et j'avoue que par malin plaisir, imaginer une volonté molle me fait immanquablement penser à François Hollande).

Peut-être par allusion/comparaison/opposition à son (maintenant) illustre prédécesseur ?

(et j'avoue que par malin plaisir, imaginer une volonté molle me fait immanquablement penser à François Hollande).

Peut-être par allusion/comparaison/opposition à son (maintenant) illustre prédécesseur ?

Cette référence devient légèrement obsessionnelle chez vous, cher Camille...

Bonjour,
Mais vous constaterez que la "saga" continue, ce qui n'arrange pas trop le monsieur "normalement mou" auquel vous faites allusion et qui fait encore semblant de ne pas être au courant...

Mes réponses aux dernières questions :

* Je ne crois guère aux "emplois parallèles", vu que je n'en ai même pas un pour moi à présent. Explication : après 7 ans pour obtenir le doctorat et autant pour le faire reconnaître, je ne pourrais travailler désormais que dans le Droit... mais le monopole des avocats sur le conseil en Droit m'interdit toute activité libérale jusqu'au CAPA. Quant à mes (prestigieux) diplômes initiaux (HEC, ingénieur des Ponts...), ils n'intéressaient déjà plus personne 8 ans après la fin de mes études (car j'avais créé une entreprise entre-temps, donc mon image s'était "brouillée" aux yeux des recruteurs d'alors).

* J'ai saisi le TA contre MONTPELLIER 1 en juillet, et toujours pas de date d'audience fixée (sauf le référé, comme vous savez, que j'ai gagné mais qui ne donne rien de concret). J'ai donc bien fait de demander l'équiv à une autre fac en attendant (si elle fait comme la 1re, son instruction va durer 6 mois)...

* Une parenthèse latine moderne pour terminer : il est vrai que "morbide" a un sens différent en italien, mais le dico Interlingua de 1951 donne à ce mot latin moderne le même sens qu'en français, espagnol, portugais et autres dialectes romans, et la majorité l'emporte. C'est donc un "mot rebelle" pour les italophones, tout comme les francophones ont les leurs (une cinquantaine à apprendre sur un vocabulaire basique de 5000 mots) : par ex. le mot "con" qui signifie "avec" (car "avec" se dit CON en espagnol et italien, COM en portugais et même CUN en roumain, d'où le choix logique de "con" pour dire "avec")... et accessoirement ça permet aux détracteurs français du latin moderne de le traiter de langue de "con". Je rappelle mon blog :
http://interland.blog.mongenie.com

En roumain, "avec" se dit "cu", pas "cun". Fin de la parenthèse.

Pour ceux que ça intéresse, j'annonce que j'ai ouvert une autre discussion : sur les trois procédures simultanées que subit ma famille pendant mon attente du CAPA. Objectif : réfléchir à une éventuelle collusion entre le prof de Montpellier 1 qui me bloque (depuis 47 mois à présent) et le Parquet de Nimes (à 50 km de là) qui orchestre toutes les poursuites en question...
Voir la section "Café des juristes", thème : "Et vous, êtes-vous aussi persécuté(e) par la Justice ?"

Suite à un autre post, par curiosité, je suis allée consulter celui-ci.

Je ne poursuivrais pas les derniers échanges, et vais tenter d'aborder le fond.

Votre ordonnance de référé a suspendu la décision de refus pour quel motif, et avez-vous formé des demandes sur le fondement de l'article L. 911-2 du CJA ?

De deux choses l'une :

- ou la suspension est due à un motif de forme, et en effet l'ordonnance n'entraîne pas obligation de reconnaître l'équivalence, puisque le juge ne vous donne pas raison sur le bien-fondé de votre demande, mais sur la procédure suivie pour prendre la décision de refus

- ou la suspension est due à un motif de fond, auquel cas il faudrait savoir lequel.

Dans les 2 cas, si vous n'avez pas demandé le ré-examen de la demande et qu'il soit enjoint à l'administration de prendre une nouvelle décision... c'est dommage...

Si vous n'avez pas de ressources, l'aide juridictionnelle est une bonne solution.

Presque 4 ans sans pouvoir avancer, un simple calcul me dit que ça valait le coup de payer un avocat... mais je ne suis pas à votre place.

En tous les cas, vous vouliez une réponse de publiciste, la voilà.

Copiez les motifs de la décision (après les visas, à partir du premier considérant). Je pourrais vous en dire plus.

Cleyo

...Si vous n'avez pas de ressources, l'aide juridictionnelle est une bonne solution.

Presque 4 ans sans pouvoir avancer, un simple calcul me dit que ça valait le coup de payer un avocat... mais je ne suis pas à votre place.

En tous les cas, vous vouliez une réponse de publiciste, la voilà.

Copiez les motifs de la décision (après les visas, à partir du premier considérant). Je pourrais vous en dire plus.

Cleyo

On n'arrête pas de lui dire