Bienvenue sur le Village de la Justice.
Le 1er site de la communauté du droit: Avocats, juristes, fiscalistes, notaires, commissaires de Justice, magistrats, RH, paralegals, RH, étudiants... y trouvent services, informations, contacts et peuvent échanger et recruter. *
Aujourd'hui: 156 575 membres, 28235 articles, 127 304 messages sur les forums, 2 600 annonces d'emploi et stage... et 1 500 000 visites du site par mois en moyenne. *
FOCUS SUR...
• 1er Guide synthétique des solutions IA pour les avocats.
LES HABITANTS
Membres
Nouvelles parutions
Robert Badinter - L’œuvre d’un juste
« Un jour, je vous parlerai de la Justice...»
La Semaine Juridique - Édition Générale
Accédez à votre actualité juridique chaque semaine sous la plume d’auteurs de renom !
Sélection Liberalis du week-end : balade en terres corréziennes.
Les prochaines manifestations sportives des professionnels du Droit.
A voir et à Écouter... sur le Village de la justice:
Bonjour, Maître Vous dites : "Ensuite, à compter de la loi « Jonnart » du 4 février 1919 sur l’accession des indigènes de l’Algérie aux droits politiques, les Français d’Algérie pouvaient accéder à la qualité de citoyen français, c’est-à -dire à la nationalité française pleine et entière, en obtenant du juge de paix un jugement d’admission à la qualité de citoyen français, régi par le statut civil de droit commun". Si j’ai bien compris, une personne originaire d’Algérie qui s’est vue délivrer un certificat de nationalité française en 1956 par un juge de paix est incontestablement française de droit commun, c’est bien ça ?
Merci d’avance de votre réponse.